Il y a quatre ans, ont eu lieu les attentats du 13 novembre 2015 à la discothèque Bataclan et qui ont fait 130 morts à Paris et Saint-Denis. Après tout ce temps, une Commission parlementaire découvre seulement des choses qui n’ont été jamais dites jusqu’ici.
Ce jour-là, la discothèque Bataclan est devenue une véritable salle des horreurs. On sait seulement aujourd’hui que de nombreuses victimes ont été l’objet d’actes de sadisme extrême de la part des terroristes islamistes, de violences telles que “des mutilations sexuelles et des tortures”.
Pourquoi les gouvernements français ont-ils caché jusqu’à ce jour la vérité sur les crimes abominables perpétrés par ces islamistes radicaux au Bataclan ?
Qu’a vu la police en arrivant sur les lieux ?
“Le corps d’un jeune homme avait les testicules dans sa bouche et un œil avait été déchiré. Plusieurs femmes avaient été poignardées à la hauteur des parties génitales”, écrit El Mundo. “Certaines personnes ont été décapitées et des actes sexuels ont été simulés avec des femmes”. Ces événements se seraient produits au premier étage, tandis que la police engageait une fusillade avec l’un des terroristes avant qu’elle accède aux lieux.
La Commission parlementaire, qui a abouti à ces informations, a enquêté au cours des cinq derniers mois sur tous les éléments ayant joué un rôle clé dans les attentats commis ce 13 novembre 2015. Son rapport compte 1300 pages avec des annexes et aboutit à des conclusions concernant la transmission d’informations au sein des structures de l’État.
Pourquoi ce silence des autorités politiques jusqu’à ce jour ?
Pourquoi n’a t-on pas pris des mesures radicales en vue de protéger les citoyens de ce genre de personnages ?
Depuis ces dramatiques événements, combien de jeunes français ont été assassinés par des islamistes fanatisés dans les rues de France ? Combien de viols, d’agressions de membres familiaux sont victimes des largesses d’un Etats ripoux à l’égard de ces groupes qui pavanent dans les rues de France et qui se moquent ouvertement des policiers.
Jusqu’où va la complicité de certains responsables politiques français avec ces réseaux inhumains, comme on a déjà pu le voir lors de la longue guerre civile en Syrie, où l’Occident a trahi la mission qu’elle devait jouer et récolte déjà les conséquences de sa duplicité avec le djihadisme.
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