Les gouvernements européens ont été conseillés par les cercles mondialistes dont nous parlons dans les deux dernières séries LISO pour prendre des mesures anticonstitutionnelles. Ils ont exploité l’épidémie pour instaurer un état de surveillance et de police permanent, avec une privation des libertés fondamentales et une atteinte radicale à la vie privée par des moyens sournois. Tout cela est accompagné d’une censure contre la pensée scientifique et économique non alignée.
Les grands médias contrôlés par les oligarchies qui ont installé les gouvernants, martèlent quotidiennement la propagande de la peur afin de tenir les populations en laisse. Cela peut durer tant que les magasins ont encore de quoi donner à manger… mais la crise frappe tous les secteurs.
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Nous n’allons pas reprendre la liste de tous les faits criminels par lesquels les gouvernements ont pu obtenir le nombre de morts quotidiennement exploitable pour faire pression sur l’esprit moutonnier des populations et les rendre dociles aux mesures totalitaires. Des médecins égrènent quotidiennement les raisons de leur écœurement et de leur rancœur sur YouTube.
Fallait-il créer l’urgence et la terreur pour suspendre la Constitution et créer les conditions d’une désintégration économique, comme souhaitée depuis des lustres par les cercles mondialistes?
La prétendue reprise risque donc d’être accompagnée de mesures liberticides, de contrôles de la population, une propagande orwellienne, car ils ne vont pas lâcher les peuples après une telle opération… Ils ont bien la crise dont parlait un initié de la trempe de David Rockefeller…
En Italie, le procureur général anti-mafia, le Dr Federico Cafiero De Raho, a déclaré que les mafias commençaient déjà à profiter de la crise financière provoquée par le blocus économique, en offrant aux familles et aux entreprises le soutien que le gouvernement n’apporte pas. Elles vont ainsi renforcer leur influence dans le domaine électoral dans la société, et d’autre part, s’emparer de l’économie.
Voilà la conséquence du vide politique produit par l’attitude du gouvernement italien. Cette gestion de la crise a suscité un vide que les mafias remplissent en augmentant considérablement leur pouvoir politique sur les institutions et le gouvernement lui-même. Ce, alors que la Mafia exerce déjà une influence depuis des décennies sur le vote électoral dans environ un tiers du pays.
L’ITALIE VA GLISSER VERS LA GUERRE CIVILE
Les choix du gouvernement italien de ne pas créer et de ne pas injecter de liquidités dans l’économie, de la laisser tomber à genoux, favorisent les deux principales forces politiquement dominantes en Italie : les mafias, le grand crime organisé, d’une part ; et, d’autre part, l’Allemagne, avec le dôme financier européen.
Dans une telle circonstance, la politique de ce gouvernement pourrait aller à son terme et aboutir à des conséquences extrêmes. En ce sens que l’appauvrissement du pays et sa soumission totale vont exacerber les tensions entre le Nord sous capitalisme rhénan et le Sud aux mains de la mafia.