Le ténébreux projet de réinitialisation de l’Occident – Partie 2

C’est bien connu : les personnes intimidées sont plus faciles à manipuler. L’un des moyens de susciter la peur et donc assurer un meilleur contrôle des populations a été discuté depuis le siècle dernier – la menace d’une catastrophe climatique. Les experts à la solde de ceux qui le rétribuent, disent que les émissions de dioxyde de carbone provenant de l’industrie, des transports, des ménages résultant de la combustion du pétrole, des produits pétroliers, du gaz naturel, du charbon (les vecteurs d’énergie dits carboniques) créent un «effet de serre» et provoquent une augmentation de la température atmosphérique.

On sait que cette théorie est erronée, totalement fausse. Parce que la biosphère terrestre a une capacité étonnante à maintenir l’équilibre écologique, notamment grâce à la capacité d’absorption des océans et des forêts. Ils absorbent les émissions de CO² excédentaires des activités humaines. Ils sont capables d’absorber plusieurs fois plus d’émissions, donc il ne peut y avoir «d’effet de serre».
Néanmoins, depuis plusieurs décennies, les gens ont été bercés avec la rengaine qu’ils doivent craindre une catastrophe climatique naturelle. Des conférences internationales se suivent depuis des années, au cours desquelles les moyens de prévenir une catastrophe ont été discutés. Ensuite, des accords internationaux ont été conclus sur des actions conjointes des Etats pour lutter contre le réchauffement climatique. L’un des choix stratégiques de la lutte est le retrait progressif de l’énergie traditionnelle, basée sur l’utilisation de combustibles fossiles (pétrole, gaz naturel, charbon, schiste) par des énergies alternatives qui n’émettent pas de gaz à effet de serre. C’est solaire, éolien, géothermique. Mais également nucléaire (cependant, ce type d’énergie a de sérieux adversaires).
Le plus grand accord, pourrait-on dire mondial, pour prévenir le réchauffement climatique a été la Convention de Paris sur le climat, adoptée lors d’une conférence tenue dans la capitale française en décembre 2015. On n’a pas regardé au coût CO² de tous les guignols de la politique et des experts…
Après son adoption, il y a eu également une signature officielle, intervenue dans une atmosphère solennelle le 22 avril 2016 (196 pays et l’Union européenne l’ont signée). Après la ratification de la convention par 55 parties, elle est entrée en vigueur le 4 novembre 2016. A ce jour, la convention a déjà été ratifiée par 186 pays et l’UE.  [A suivre]
 

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