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Par J.A. Tucker. Extraits – Les néo-libéraux (surtout ne pas confondre avec le libéralisme) utilisent le mot “libéral” pour décrire les totalitaires. Le libéralisme au sens propre, a une noble histoire qui remonte à plusieurs siècles. Il s’est opposé à toutes les formes d’autoritarisme. Mais au cours de chaque décennie du XXe siècle, les “néo-libéraux” des Etats-Unis ont engagé un processus de phases de destruction du monde connu, en commençant par leur bellicisme en 1915 et les années suivantes; en continuant avec le New Deal, et en empirant à chaque décennie. Mais le XXIe siècle a été encore plus pourri : les néo-libéraux étant désormais incapables de défendre ne serait-ce que les droits fondamentaux à la liberté d’expression ou à la liberté d’association.
Le pire du libéralisme contemporain est son isolement idéologique basé sur la classe et son snobisme. Il s’agit avant tout de préserver les privilèges de quelques-uns contre les aspirations du plus grand nombre. Pour y parvenir, ils ont construit d’immenses empires d’influence et de contrôle. Ils y sont parvenus, bien qu’ils ne constituent plus qu’une minuscule secte, fonctionnant non pas sur la base de principes mais de symboles d’association, avec un mépris implacable pour les classes laborieuses et la classe moyenne, ou toute personne n’ayant pas un accès privilégié à leurs structures universitaires et à leurs organes médiatiques bien gardés.
Pendant la pandémie, ils ont eu un comportement inhumain.
Ils ont complètement abandonné toutes formes d’humanité au nom de l’Etat de sécurité biomédical.
Comme toutes les élites, ils utilisent le langage et les mœurs comme outils pour se reconnaître entre eux et exclure les autres. Ils ont modifié également les normes morales d’une manière qui leur convient.
La réponse à la fausse pandémie a poussé tout cela à l’extrême, car toutes les élites néo-libérales étaient heureuses d’écraser les droits humains et la santé publique, au nom de la création d’un environnement de chaos et de fraude électorale aux Etats-Unis. C’est un fanatisme très dangereux qui a causé des dommages effroyables à la planète entière.
Le néo-libéralisme n’est pas seulement antilibéral, pas seulement erroné par habitude, pas seulement isolé et indifférent, mais il est fondamentalement pathologique. Il a désespérément besoin d’être corrigé, de peur que leur pouvoir et leurs privilèges ne nous entraînent de plus en plus profondément dans un marasme médiéval de seigneurs et de paysans avec un vernis numérique…
Qu’est-ce qui mettra fin à leur règne de terreur ?
Aujourd’hui, ils redéfinissent la démocratie comme un régime à parti unique. Ce qui laisse présager pour LIESI une belle tourmente à travers les événements qui évolueront avec la date du 2 novembre 2024 en perspective ! Ce qui se passe en Afrique n’est pas ANODIN, et nous développerons cette thématique dans le numéro de LIESI du 31 août. Cette thématique géopolitique est très cruciale puisqu’elle est l’étape qui mènera aux prochaines guerres civiles.
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