Si l’on se fie à certains indicateurs traditionnels comme l’inversion des taux à deux ans et à 10 ans et que l’on tient compte du marché obligataire, il est évident que les États-Unis sont déjà dans une récession. Il y a d’autres indicateurs disant également la même chose. Mais le ministère de la propagande de la banque centrale américaine a toujours manipulé les chiffres à des fins pas seulement politiques ; en effet il y a un agenda à suivre.
La chute extrêmement violente des marchés financiers (mais après une immense progression de plus de 20 % pour certains indices en neuf mois) exprime, dit la presse commune, la crainte d’une récession survenir aux États-Unis.
En fait, rien ne justifiait un effondrement des cours et la disparition de plusieurs dizaines de milliards de dollars à la seule lecture d’une statistique sur le marché de l’emploi américain. Cela a permis certaines opérations de l’élite en toute discrétion alors que nous sommes dans un processus accéléré de financiarisation mondiale.
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