Babylone est en train de détruire tout le système des petites entreprises parce qu’ils ne veulent pas d’entrepreneurs.
Babylone a des employés, des personnes dépendantes, des consommateurs obéissants.
Babylone veut développer l’intelligence artificielle et n’a besoin que de zombies en face pour mettre en œuvre la nouvelle structure au service du Prince de ce monde et de ses séides.
Babylone a besoin de guerres afin de remplacer une bonne partie de ce qu’ils appellent “le bétail humain”, par des robots et… l’intelligence artificielle.
Babylone n’a quasiment plus d’opposants, mais des journalistes et des consciences souillées, incapables de faire la différence entre le bien et le mal.
Babylone veut, à Rome, une Eglise docile avec des pontifes qui depuis Vatican II continuent à jouer le rôle des prophètes de la Bête et de son Évangile humaniste avec ses NOUVEAUTES.
Un “bon catho vatican 2” comme l’illustre le vice-président Vance qui suit son grand ami Donald Trump : satisfaire le Sanhédrin antichristique pour bien se faire voir du “pouvoir” :
Babylone a des esprits légers, nourris de pains et de jeux, sensibles aux événements sportifs et prêts à accepter toutes les vilenies possibles pour la gloire de “la Bête à venir”…
Nous avons dit Babylone : veut la faillite des petites entreprises. Voyez…
Rien qu’aux Etats-Unis, ce pays si merveilleux selon Donald Trump, grand serviteur zélé de la Bête : selon des données NON GOUVERNEMENTALES, 31 % des entreprises ont gelé leurs embauches, et 13 % supplémentaires prévoient de le faire cette année. En outre, 45 % des entreprises prévoient des licenciements en 2025, invoquant des facteurs tels que l’incertitude économique, l’automatisation de l’IA et les changements politiques.
Ces informations proviennent d’une enquête menée par ResumeTemplates.com et ont été détaillées dans un rapport de HR Dive. L’enquête, qui a recueilli les réponses de 1 000 cadres américains, met en évidence les préoccupations croissantes liées aux difficultés économiques, à l’automatisation, à l’intégration de l’IA, au sureffectif et aux changements politiques anticipés comme principaux facteurs à l’origine de ces décisions en matière de main-d’œuvre.
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