Les dirigeant ukrainiens chargent des architectes de construire des cimetières de plus en plus grand tant il y a de morts… ce qui révèle l’affaiblissement des espoirs militaires
Voici ce qu’écrit Le Monde : “Les cimetières à travers l’Ukraine sont pleins, ce qui nécessite un nouveau projet national de construction d’un réseau à grande échelle de nouveaux sites funéraires militaires. Les places réservées aux soldats sont pleines. Partout, des équipes d’architectes travaillent sur des monuments commémoratifs qui en disent autant sur l’ampleur du massacre que sur la réflexion en cours sur la notion de nation.” Les journalistes finissent par admettre que le nombre de morts est probablement “beaucoup plus élevé” que ce que Zelensky veut bien reconnaître.
Dans les mêmes cercles, les discussions sur l’effondrement de l’Ukraine d’ici la fin de l’année se multiplient. Un nouvel article du Figaro qui fait le tour des réseaux sociaux fait une telle prédiction. Les auteurs ont parlé à des officiers militaires français qui estiment que la situation devient critique. Une source militaire française : “La stratégie des mille coups de Moscou s’intensifie. Le front n’est pas figé. Les offensives sont localisées dans une multitude de petites batailles qui se livrent sur quelques kilomètres. Les coupes sont de plus en plus profondes, alors que l’armée ukrainienne est déjà affaiblie. Elle s’étend sur un front de plus de 1 000 km. Faute de renforts et de ressources humaines suffisantes, les unités sont à bout de forces.
Les Russes multiplient les secteurs offensifs pour disperser les réserves ennemies”, explique une source militaire française. La Russie a déployé près de 700 000 soldats en Ukraine, soit plus que l’armée ukrainienne. Patiemment, elle continue de grignoter du territoire, au prix de pertes humaines colossales : jusqu’à une centaine de morts par jour ; quelque 40 000 victimes (morts et blessés) par mois. L’armée russe a adapté sa tactique, préférant lancer des assauts avec de petites unités d’infanterie ou des unités montées à moto, afin d’avancer plus rapidement et plus légèrement.
L’armée ukrainienne a également perdu une partie du matériel qu’elle avait reçu de l’Occident au cours des trois dernières années. Le temps joue contre elle, avec le risque d’une rupture sur une partie du front. “Les forces ukrainiennes sont dans une situation désespérée… Peuvent-elles tenir six mois ? Un an ? En réalité, la guerre est déjà perdue”, poursuit la source militaire. Dans cette guerre d’usure, le temps change tout.
En fait, l’Ukraine a déjà perdu la guerre.
Comme l’on dit des responsables ukrainiens clairvoyants, il y a une tentative russe visant à paralyser la capacité de l’Ukraine à rassembler de la chair à canon pour la chaîne de l’horreur de Zelensky. De même, les frappes russes ont complètement détruit l’industrie ukrainienne de l’armement. En réalité, elles ont neutralisé l’industrie ukrainienne, mettant fin à bon nombre des ambitions ukrainiennes farfelues en matière d’armement, qui faisaient pourtant l’objet de nombreuses discussions à un moment donné.
De plus en plus, les hauts responsables ukrainiens paniquent et concluent que si cela continue ainsi, l’Ukraine n’aura plus rien. Un officier ukrainien déclare qu’“à ce rythme, l’Ukraine sera renvoyée à l’âge de pierre”.
Le siège de Zelensky commence à vaciller de plus en plus. Après tout, il était auparavant inimaginable que de telles déclarations soient diffusées sur les médias pro-Kiev. Les députés ukrainiens qui ont encore un peu de cervelle comprennent qu’avec la situation actuelle en Ukraine, le pays cessera bientôt d’exister. Tous les partenaires ukrainiens qui étaient verbalement prêts à se battre pour le régime de Zelensky sont désormais complètement “gelés” et ne veulent même plus contribuer financièrement. Le soutien s’amenuise…
Dans cette guerre russo-ukrainienne, les capacités russes augmentent chaque année, dépassant de loin celles de l’Ukraine. Cela se traduit notamment par l’augmentation des effectifs militaires de 100 000 hommes par an, alors que ceux de l’Ukraine diminuent, ainsi que par la croissance industrielle de l’industrie de l’armement.
Cela dit, il reste un dernier point important à soulever. Beaucoup invoquent les “problèmes économiques croissants” de la Russie pour expliquer pourquoi celle-ci pourrait commencer à “perdre” à l’avenir, malgré sa domination apparente actuelle. Au contraire, les signaux sont ici tout à fait opposés : le projet de Poutine de commencer à réduire progressivement les dépenses militaires russes est la reconnaissance que la Russie a enfin atteint un équilibre total dans la guerre, où les niveaux de production actuels sont stables et viables indéfiniment par rapport aux pertes. Cela signifie qu’une expansion militaire excessive n’est pas nécessaire et que la Russie voit une voie vers la victoire contre l’Ukraine avec les niveaux actuels.
Cela va évidemment de pair avec le fait que la Russie a désormais tellement affaibli les forces armées ukrainiennes qu’elle n’a plus besoin du même niveau de disparité dans les dépenses militaires : à mesure que les capacités ukrainiennes diminuent, la Russie ramène également sa guerre à un niveau gérable en passant de la vitesse supérieure à un simple “pilote automatique”. Une fois de plus, les analystes occidentaux dogmatiques, incapables de raisonner de manière impartiale, ne saisissent pas cette indication évidente, ce qui gâche totalement leurs analyses.
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