Les bourses américaines sont toujours sur des sommets notamment parce que l’administration Trump a annoncé qu’elle achèterait des parts dans l’industrie ou dans des entreprises. Il faut savoir que tout au long de l’histoire, ce genre de perspective s’est généralement terminée par un désastre à chaque fois.
La volonté de l’administration Trump de s’immiscer dans la finance n’est pas une question de sécurité, mais de contrôle ! Nous nous dirigeons vers une sorte d’Etat dystopique où le contrôle doit être maximal. Et le vrai pouvoir derrière le rideau a bien eu raison de recourir à un pantin qui se présentait comme le sauveur du peuple et de la cause nationaliste !
Ce n’est que la confirmation de ce que nous annonçons depuis une dizaine d’années. C’est exactement la réplique du fascisme. Voilà qui confirme tout ce que nous avions annoncé, choquant pas mal de monde au tout début ! Mais les faits sont là et fracassants pour les aveugles ; malheureusement ils sont encore très nombreux à espérer dans « l’homme ».
Alors que les conséquences des droits de douane viennent confirmer ce que nous avions annoncé et qu’une proportion de plus en plus importante de contribuables américains s’en rend progressivement compte, il devient impératif pour Donald Trump et ses sbires de contrôler le discours.
Parce que toutes les publications économiques sont fausses et archi fausses et elles le seront de plus en plus. Voir notre dernier article du jour publié sur Gladio Veritatis.
On comprend pourquoi Donald Trump a une admiration du dictateur de Moscou qui rêve de reconstruire l’URSS. La manière dont Trump a accueilli Poutine, en comparaison de ce qui a été fait avec le tyran de Kiev, en dit bien long. Et si vous lisez comme il se doit le dernier numéro de LIESI, vous comprendrez alors pourquoi il y a un point commun entre Washington et Moscou… qui remonte aux suites de la révolution bolchevique.
Lisez la synthèse de présentation du numéro 572 de LIESI, puis le numéro 573 avec une analyse que vous ne trouverez quasiment nulle part.
Dans un monde communiste, il n’y a pas de classe moyenne : il y a les oligarques et le peuple qui n’arrive pas en sortir et qui trime tous les jours dans un totalitarisme de contrôle.
Dans les Etats-Unis de Donald Trump, il n’y aura plus de classe moyenne dans quelques mois : il y a les oligarques de la Silicon Valley et des néoconservateurs, puis un peuple qui n’arrive pas à s’en sortir et qui doit faire deux à trois boulots par mois pour le boucler.
Il en va bien évidemment de même en UERSS pour les peuples européens qui vont subir une crise économique bien pire que celle des Américains, avec une spoliation bancaire qui semble échapper à tous ceux qui nous entourent…
En Europe comme aux Etats-Unis, nous assistons au plus grand transfert de richesses des populations vers les classes élitistes. Cela fait longtemps qu’il n’y a plus d’élections et que le vote ne sert strictement à rien, sinon à bercer l’ignorant et l’inculte d’une illusion coupable.
Les gens sont progressivement en train d’abandonner leur liberté pour un système bestial, sans aucune humanité et au service des barbares qui ont tous les droits de piller, de brûler les églises et de violer sans aucune impunité. Et que les choses soient bien claires : il n’y aura aucune amélioration tant que le peuple ne se mettra pas à genou, se frappant la poitrine en disant : « mea culpa, mea culpa, mea culpa », suppliant Dieu d’intervenir par l’intermédiaire de sa Très Sainte Mère que nous avons fêtée le 15 août.
Et ce n’est malheureusement pas pour demain.
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