Le jour de la naissance de Notre Seigneur Jésus-Christ, les historiens ont fait le constat que la terre était pacifiée, pas un seul combat n’avait lieu sur la terre à ce moment précis. Malheureusement, cela n’a pas duré. Le Prince de la Paix n’a eu de cesse de répandre son amour et ses grâces à qui les demandaient, la charité fraternelle était ensuite pratiquée par les premières communautés chrétiennes conduites par les apôtres, témoins de la résurrection et de l’ascension de Jésus, mais l’ennemi, le Prince de ce monde, n’a pas cessé de poursuivre inlassablement un autre plan.
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Tandis que le zèle apostolique des apôtres et l’action de l’Esprit Saint convertissaient des âmes par milliers puis par millions, les suppôts de Satan hurlaient leur haine dans les arènes où les César les confinaient pour leur offrir les sacrifices des chrétiens. Plus de six millions de chrétiens furent ainsi martyrisés et cela a abouti à quoi? Non pas à la victoire du Pince de ce monde mais à la chute de l’Empire de Rome et à la conversion de César avec l’empereur Constantin.
Aujourd’hui, on constate l’absence de Notre Seigneur et un combat acharné contre sa Royauté. Le Prince de ce monde cherche à instaurer un Nouvel Ordre Mondial chapeauté par un gouvernement dirigé par son représentant – que la sainte Ecriture désigne comme l’Antéchrist. Les étapes menant à cette sombre perspective mettent progressivement le monde à feu et à sang.
Jésus apportait la paix et Satan propose la haine, la tyrannie et la violence. Combien de temps faudra t-il aux hommes pour le comprendre? Cela fait plus de 2000 ans et la royauté du Christ est plus que jamais bafouée. De Jérusalem à Rome le cri des modernistes apostats et du Sanhédrin est toujours: “NOUS NE VOULONS PAS QU’IL RÈGNE SUR NOUS !” Les gouvernements de ce monde, dans leur très grande majorité, partagent cette opinion. L’Ancien Monde se fissure et s’ébranle mais le Nouveau Monde n’est pas encore triomphant… et les César du XXIème siècle sont loin d’emporter la partie… Les uns et les autres vont apprendre que de Dieu on ne se moque pas impunément. Nous en parlerons dans le prochain numéro de LIESI du 15 juin.