Tandis que le chômage explose dans la sphère occidentale, les indices boursiers sont repartis à la hausse étant complètement décorrélés du monde réel. Dans le même temps, le politique écrase toutes les barrières mises en place après la crise de 2008, donnant carte blanche au secteur bancaire pour se lancer encore plus à fond dans la spéculation.
C’est donc l’euphorie dans la finance tandis que la misère sociale explose.
CLIQUER pour lire la suite
Il faut donner des explications aux moutons de Panurge. On dit donc que le milieu financier anticipe beaucoup de bonnes nouvelles avec une sortie rapide de la crise du Covid-19. Est- ce que les marchés financiers ont été un bon baromètre de l’économie ? Jamais.
Tout est question de manipulation car le monde de la finance n’a aucune morale. Il se concentre uniquement sur les possibilités de profit. Le politique est là pour entretenir ce que les journalistes du système annoncent pour crédibiliser un mouvement qui ne manifeste que de la manipulation en vue d’un scénario caché. Le politique fait donc de la propagande en annonçant une reprise future de l’économie. Et on en revient aux journalistes qui concluent : les marchés anticipent avec raison… On ne parle par du taux de chômage pourtant officiel qui dépasse le sommet atteint lors de la crise financière de 2008. Et encore, nous savons tous que ces chiffres sont totalement mensongers.
Qui parle de la casse générée par les émeutiers ? De leurs conséquences financières ? De ce qui arrive en Chine avec une autre vague pandémique ? De la disparition accélérée de la classe moyenne ?
Aux Etats-Unis, près de 90% des parts d’entreprises sont entre les mains des 10% des ménages les plus riches, selon la Réserve fédérale. Non seulement les bénéfices des marchés affluent massivement vers les riches, mais les inégalités contribuent à la montée des marchés dans le cadre d’un cycle d’auto-renforcement. Les 11% les plus riches de la population mondiale possèdent plus de 80% de cette richesse, selon les estimations du Credit Suisse. Cela signifie que les riches ont beaucoup d’épargne excédentaire. Cette épargne massive des riches est une montagne de capitaux qui devrait aller quelque part. L’argent file vers les marchés des capitaux, en particulier aux Etats-Unis… pour le moment.
Lorsque les riches gagnent progressivement de la richesse, ils ont généralement tendance à épargner au lieu de dépenser, ce qui limite la demande. Pendant ce temps, les ménages et les contribuables finissent par payer des intérêts sur la dette croissante des consommateurs et du gouvernement. Même avec les faibles taux d’intérêt actuels, cela représente un autre transfert de capital des classes inférieures vers les classes supérieures… Et quand ces classes supérieures fréquentent des sociétés secrètes (chaperonnée par Lucifer et les démons) en vue de mettre en place une tyrannie mondiale avec un fort taux de réduction de la population mondiale sans oublier une religion mondiale unique… on se demande où peut poindre l’Espérance d’un monde meilleur. Et pourtant les choses ne vont pas se passer selon cette logique… Voir le N°448 de la dernier lettre LIESI.