On compte près de 20% de britanniques susceptibles d’avoir fait une dépression en juin, selon l’Office for National Statistics (ONS). C’est une augmentation de 100% par rapport au nombre de symptômes dépressifs avant et pendant la pandémie du virus du PCC (Parti communiste chinois).
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La population qui a le plus été psychologiquement impactée par la phase I de la crise sanitaire semble être celle de 40 ans. Il faut y ajouter les femmes, les personnes handicapées et les pauvres.
Le directeur de la pharmacie de l’hôpital Maudsley, David Taylor, a déclaré au Pharmaceutical Journal que le manque de contact humain, a joué un rôle important, provoquant de l’anxiété et une dépression. “Les humains sont des animaux sociaux dont la santé mentale dépend d’une interaction fréquente avec les autres et avec le monde extérieur”, a-t-il déclaré. Il a donc conseillé au gens dépressifs d’aller à l’extérieur et ne pas hésiter à recourir à une aide professionnelle si nécessaire.
En juillet, le Lancet a publié une étude qui mettait aussi en évidence une augmentation du stress mental pendant la pandémie.
Il est à craindre que ces symptômes dépressifs ne s’aggravent avec les événements de l’automne, que les globalistes maniaques de leur RESET attendent impatiemment pour aller plus loin dans le processus de leur coup d’Etat. Malheureusement, nous allons assister à une accélération des suicides, tant les points de repères habituels vont disparaître ainsi que les liens sociaux. Les psychiatres affirment que le port du masque généralisé est en train de ruiner les repère traditionnels et que cela va engendrer énormément de stress et de souffrances. C’est tellement évident, mais les populations dans leur grande majorité ont confiance dans la parole des politiciens payés par Big Pharma ou dans les médecins achetés pour débiter le discours eugéniste du réseau B. Gates. On récoltera donc ce qui est semé…
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