Les méthodes de répression des violations prévues par la nouvelle loi comprennent le refus ou la révocation des visas, la saisie des biens et des actifs, et l’interdiction des activités commerciales.
Wang Wenbin, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré dans un bulletin d’information du 10 juin que la loi était un outil juridique permettant de riposter aux sanctions étrangères.
Et lorsqu’on lui a demandé si la loi aurait un impact sur les relations diplomatiques avec d’autres pays, Wang a répondu que “cette inquiétude … est totalement inutile”.
Au cours des derniers mois, les Etats-Unis, l’Union européenne, le Canada et le Royaume-Uni ont imposé des sanctions aux responsables chinois, les accusant de graves violations des droits de l’homme à l’encontre des Ouïghours du Xinjiang et de la destruction de l’autonomie de Hong Kong.
Le 12 mai, le gouvernement américain a annoncé des sanctions à l’encontre d’un responsable du PCC pour avoir persécuté le Falun Gong, alors que la suppression brutale de cette pratique spirituelle par le régime de Pékin approche de son 22ème anniversaire.
Jusqu’à présent, le gouvernement américain a imposé des sanctions à environ 45 responsables chinois, dont les 14 vice-présidents de la commission permanente de l’assemblée législative. Parallèlement, Washington a également interdit aux entreprises chinoises d’acheter des technologies américaines, comme le plus grand fabricant de télécommunications chinois Huawei, qui a violé les sanctions américaines contre l’Iran.
Le régime chinois a commencé ses représailles plus tôt cette année. Le 21 janvier, le régime a interdit à 28 Américains et à leurs parents directs de se rendre en Chine continentale et à Hong Kong.
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