La répression du gouvernement à l’égard de ces entreprises technologiques chinoises florissantes renforce la politique de la nouvelle ère de surveillance. Les seuls citoyens ne sont eux seuls dans le viseur des communistes, mais aussi les entreprises qui ne pourront pas éviter cette surveillance. Même celles qui se sont enregistrées aux Caïmans ou en Californie.
Les deux plus grandes économies du monde semblent s’engager sur des chemins différents, alors qu’elles sont confrontées à un pouvoir tentaculaire des entreprises technologiques privées qui, ces dernières années, ont incontestablement acquis de plus en plus de pouvoir de contrôle: financier et humain. On l’a vu aux Etats-Unis puisqu’elles ont contribué à faire élire un loser comme Joe Biden.
En Chine, pas question de laisser les capitalistes constituer un contre pouvoir. La technologie doit rester un outil de contrôle social et les entreprises qui appartiennent à ce secteur doivent se placer sous un strict contrôle du Parti communiste.
En agissant ainsi, “La Chine est en train de prendre les devants en fixant des limites autour du pouvoir des Big Tech”, a par exemple déclaré Thomas Tsao, co-fondateur de Gobi Partners, une société de capital-risque basée à Shanghai.
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