Nous avons déjà évoqué ce moment où Notre Seigneur, voyant Jérusalem, pleura sur elle. Il verse des larmes de compassion sur cette ville qu’il avait tant aimée. Il sera touché des malheurs de cette ville infortunée et les acclamations du peuple qui le reçoit en triomphe ne lui feront point oublier les calamités réservées à ses habitants qui, démocratiquement (mais poussé par les prêtres du Sanhédrin – ceux de la Rome apostate aujourd’hui), vont crier au pouvoir romain (globaliste aujourd’hui) : ”Crucifie-le” !
Cette Jérusalem sur laquelle pleure Notre Seigneur est aussi l’image de notre âme. Rappelons-nous ce que disait Jésus aux saintes femmes en montant au calvaire : “Pleurez sur vous-mêmes.”
Dans le contexte actuel, il convient d’être bien réaliste sur ce que nous vivons. Nous subissons les conséquences de notre propre abandon de Dieu, de nos péchés, de nos indifférences à la grâce, aux pieuses aspirations de l’Esprit Saint, à l’abandon des bonnes lectures que nous négligeons, du temps de réflexion que nous ne prenons pas pour se rapprocher du bon Dieu, de notre ignorance volontaire quant à l’importance du salut éternel, du fait que nous ne réfléchissons point au fait que notre corps ne nous appartient pas mais qu’il est le temple du Saint Esprit, et que par conséquent nous devons nécessairement nous instruire de ce que les instruments de la Synagogue de Satan veulent nous inoculer à travers cette gestion de la pseudo pandémie sanitaire.
Notre Seigneur pleurait sur Jérusalem comme il pleurait sur nos âmes, comme il pleurait sur les hommes de ce début XXIe siècle. Le dessein de Dieu, en voyant nos misères, est de nous porter à l’humilité, à la pénitence, à la réforme de notre vie.
Les méchants ont un pouvoir qui vient toujours du Ciel et la tyrannie qu’ils exercent est un des moyens que le bon Dieu utilise pour nous rappeler qu’il est le maître Tout Puissant. Par conséquent, nous devons demander pardon pour nos péchés, nos iniquités, nos injures, nos blasphèmes, notre indifférence à la grâce. L’Ancien Testament donne plusieurs exemples de peuples repentants face au courroux du Ciel manifesté par des ennemis qui sont sans pitié pour le peuple hébreu.
Rappelons qu’Attila était appelé “le fléau de Dieu”. Malheureusement pour lui, il s’est enorgueilli de sa puissance qui ne venait que de Dieu. De la même manière, aujourd’hui, les hommes d’iniquité ne sont que les instruments de la justice divine. Si nous ne comprenons pas cela, il n’y a aucune possibilité d’espoir. Les choses se poursuivront et les malheurs continueront de fondre sur les peuples apostats. En ce jour de l’Assomption, il nous faut supplier la Très Sainte Mère de Dieu, qui fut le modèle par excellence de l’Humilité -après son divin Fils- de prier pour notre conversion, le salut de la France et la conversion des méchants au service de la Bête.
La France a des ennemis concentrés dans les différentes sociétés secrètes attachées à la Synagogue de Satan. Aujourd’hui, les gens d’iniquité ont une puissance qui ne peut être ignorée, mais il dépend de nos prières et de notre propre conversion pour voir si les Attila du moment présent s’effondreront de leur piédestal. Dans les prophéties de Marie Julie Jahenny, Notre Seigneur emploie l’expression de “salle de l’enfer” pour l’Assemblé Nationale qui ne cesse de voter des loi antichrétiennes. O combien cette expression est devenue juste… un signe d’espoir. Si la Ciel a tout annoncé de ce que nous voyons, y compris notre abandon à la grâce et à l’Eglise éclipsées par l’Eglise moderniste et mondialiste, c’est donc que les autres prophéties se réaliseront… Nous en parlerons dans séries à venir de la Lettre des Prophéties.
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