I. Overton – Etablir des priorités raciales
Maintenant que le collectif Biden a créé une pénurie artificielle (au nom de l’équité) de ces anticorps monoclonaux qui sauvent des vies, on assiste de fait à de nouvelles directives éthiques. Elles viennent d’ailleurs d’être publiées par la Food and Drug Administration (FDA) à la mi-novembre. La priorité doit être donnée aux personnes de race noire ou africaine, aux hispaniques non blancs, aux indigènes ou aux autochtones d’Amérique/Alaska, aux insulaires du Pacifique ou aux métis (BIPOC), plutôt qu’aux personnes de race blanche ou d’Asie de l’Est.
Selon leur logique, cela s’explique par le fait que ces personnes sont considérées comme présentant un risque plus élevé de comorbidités, d’hospitalisation et de décès, non pas parce que le COVID-19 cible une caractéristique génétique spécifique associée à la mélanine ou à l’ascendance, mais en raison de prétendues “inégalités systémiques” et d’une “oppression institutionnelle” qui nécessitent un traitement privilégié pour ces “races” de personnes.
Concrètement, la discrimination raciale était en place des mois avant la publication des nouvelles directives “éthiques” de la FDA. Des gens se sont vus catégoriquement refuser l’administration d’AcM au Texas parce qu’ils étaient blancs et que, selon “les qualifications”, elles devraient pouvoir se remettre du COVID-19 sans cet agent, de sorte que l’infirmière doit garder les AcM pour des personnes jugées plus à risque !
Une simple recherche révèle que le DSHS se réfère aux National Institutes for Health (NIH) pour les directives de traitement et de thérapie pour les patients à haut risque, non hospitalisés, et pour les thérapies ambulatoires. Le NIH se réfère au CDC pour les directives sur les conditions médicales à haut risque de contracter un COVID-19 grave, qui incluent la même évaluation pondérée en fonction de la race.
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