Par D. Krayden – Cela défie presque l’entendement, mais la conférence sur le climat COP28 de 2023 se déroule actuellement à Dubaï, dans les Emirats arabes unis. Oui, elle se tient dans le désert, au cœur d’un royaume pétrolier, et est présidée par des magnats du pétrole.

Cette union ironique d’un objectif politique et d’un lieu n’est certainement pas seulement toxique, mais surréaliste. Il est difficile de comprendre l’arrogance de nos maîtres du changement climatique qui croient vraiment qu’un changement de temps est révélateur d’une menace existentielle.

Mais que peut-on attendre des mondialistes des Nations unies qui sponsorisent chaque année ce voyage pour que des politiciens hypocrites puissent se rendre dans des climats exotiques à bord de jets à faible émission de carbone, passer des journées à parler avec éloquence de leur amour intrinsèque de l’humanité, puis passer leurs nuits à manger de la haute cuisine et à boire des vins, des spiritueux et des bières exotiques au bord de la baignoire.

Vont-ils discuter de la façon dont les agriculteurs, du Canada aux Pays-Bas, devraient réduire leur utilisation d’engrais, produire moins de nourriture et élever moins de vaches, même si cela favorise la famine et l’inanition ? Vous pouvez en être sûr, mais pas trop fort et hors de la vue du public.

Demander aux dirigeants politiques du monde entier de se rassembler dans le désert pour se prosterner devant l’autel du changement climatique est d’une telle stupidité que cela relève non seulement de la vanité, mais aussi de la folie. Pourquoi n’ont-ils pas choisi Las Vegas ? Au moins, les casinos offrent un petit déjeuner bon marché et de nombreuses boissons gratuites autour des tables.

Pouvez-vous imaginer la facture de l’air conditionné pour les séances de photos à Dubaï ?

Le fait même que nos dirigeants politiques s’attendent à ce que les masses acceptent cette mascarade au pied de la lettre et continuent de croire que la lutte contre le changement climatique n’est pas seulement la question la plus importante, mais la seule qui compte vraiment, montre à quel point ils sont devenus délirants et à quel point l’idéologie du changement climatique ressemble désormais à une religion.