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Par Cassie B. – Avec l’été qui approche, ce n’est qu’une question de temps avant que les alarmistes du changement climatique ne commencent à répéter leur fausse affirmation selon laquelle le réchauffement de la planète est responsable de la chaleur qui caractérise les mois d’été. Cependant, un météorologue affirme que la planète est sur le point de devenir beaucoup plus froide – et c’est là que les vrais problèmes pourraient commencer.
C’est ce qu’affirme le professeur David Dilley, ancien météorologue du NOAA National Weather Service, paléoclimatologue et PDG et fondateur de la société Global Weather Oscillations, spécialisée dans la technologie des cycles météorologiques. Fort de plus d’un demi-siècle d’expérience en météorologie, le professeur Dilley a mis au point la technologie révolutionnaire ClimatePulse, qui repose sur les cycles géomagnétiques du soleil, de la lune et de la Terre et leur alignement sur les cycles climatiques et météorologiques. Il a fait une prédiction que certains pourraient trouver surprenante : “Le réchauffement de la planète aura disparu d’ici à 2030”.
Ce serait une perspective positive si le réchauffement climatique était aussi néfaste que le prétendent les alarmistes, mais la vérité est que la chaleur de la planète aide la vie à proliférer en maintenant les niveaux de dioxyde de carbone dont les plantes ont besoin pour prospérer à des niveaux idéaux. En effet, c’est le soleil, et non le dioxyde de carbone d’origine humaine, qui est le principal déterminant du changement climatique. Selon le professeur Dilley, deux facteurs principaux sont responsables des changements cycliques réguliers des températures mondiales: la relation proximale de la Terre avec le soleil selon son orbite elliptique et son inclinaison variable. En effet, si l’on considère l’évolution sur plusieurs milliers d’années, les températures que l’on observe actuellement sont conformes à ce que l’on pourrait attendre. Le rythme de ces cycles indique également que nous sommes actuellement au sommet du cycle chaud actuel, qui est en fait le plus petit cycle chaud observé au cours des 8 000 dernières années. Cela signifie que les températures vont se refroidir considérablement au cours des prochaines décennies, et pas nécessairement dans le bon sens.
En outre, il a expliqué sur le Tom Nelson Podcast que la lune joue un rôle dans l’influence du changement climatique à court terme. Puisque nous savons tous que la lune influence les marées et le mouvement des océans, pourquoi les gens ont-ils tant de mal à accepter qu’elle joue un rôle dans les tremblements de terre, l’activité volcanique et les inondations ?
Le dioxyde de carbone n’est pas l’ennemi
M. Dilley a également souligné les nombreuses failles des arguments selon lesquels le dioxyde de carbone a atteint un niveau record et que cette situation est en quelque sorte désastreuse. Il souligne que le CO2 ne peut pas modifier l’orbite de la Terre autour du soleil, ni l’orbite de la lune autour de la Terre. Il ne peut pas non plus influencer l’accumulation de glace aux pôles, la température des océans ou l’activité volcanique. En fait, le dioxyde de carbone ne représente que 0,04 % de l’atmosphère. L’homme ne produit que 1 % de ce dioxyde de carbone et n’est pas responsable d’une grande partie de l’augmentation observée ces derniers temps. Cette augmentation provient plutôt du CO2 libéré par le réchauffement des océans, qui ne le libère que des centaines d’années après l’augmentation des températures. Enfin, il a réitéré la grande vérité que les alarmistes du changement climatique semblent toujours commodément oublier : une plus grande quantité de dioxyde de carbone est bien meilleure pour la Terre qu’une quantité insuffisante. Il est indéniable que le dioxyde de carbone est l’élément qui rend la vie possible sur notre planète. Sans lui, les plantes ne pousseraient pas, ni sur terre ni dans l’eau, ce qui mettrait fin à la vie animale et humaine. En fait, même une réduction notable des niveaux de CO2 suffirait à provoquer un désastre.
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Voilà pourquoi les eugénistes qui sont à la tête du mondialisme serinent et martèlent ces folies mensongères. Ils poursuivent plus que jamais leur programme de réduction majeure de la population mondiale. Ils sont même prêts à tout pour y parvenir comme on a récemment pu le constater avec la volonté de transformer les peuples en zombies et en les enfermant chez eux. Les gouvernements sont bien évidemment sous le contrôle de ces malades mentaux richissimes et cela explique les politiques de chaos successives qui se poursuivent, entraînant de plus en plus de misère dans les pays. L’explosion de la misère est de plus en plus palpable, tandis que les marchés financiers sont dopés par des dettes qui entretiennent l’illusion avant qu’ils ne réitèrent ce qu’ils ont fait à l’automne 1929…
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