Les peuples occidentaux vont devoir s’habituer aux pénuries permanentes

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Avec la mondialisation, on a délocalisé à tout va et on a fait la promotion de la surconsommation grâce aux crédits bancaires. Les citoyens européens et américains se sont (sur)endettés pour faire tourner à fond les usines chinoises, donner du pouvoir d’achat aux esclaves du Politburo de Pékin. Ils ont aussi vécu dans l’opulence durant de nombreuses années.

Mais cette situation est en train de se retourner : le paradis terrestre va t-il se transformer en un enfer ? Les Occidentaux ont rejeté Dieu, pensant avoir trouvé le paradis sur terre. Ils ont rejeté les commandements divins et la pratique de la sainte Messe le dimanche, une attitude élémentaire pour remercier le Bon Dieu des grâces reçues quotidiennement et obtenir la force surnaturelle pour pratiquer les vertus au jour le jour.

Nous allons justement développer ce point car il explique l’aveuglement de nos contemporains qui, par leur silence coupable, encouragent les crimes des politiques et de ceux qui les dominent : les sociétés secrètes au service de Satan.

Oui ! pourquoi les gens sont-ils devenus des complices silencieux du Mal ? Il va de soi qu’en se taisant, ils permettent ce basculement de notre société vers quelque chose d’impensable, il y a encore si peu d’années.

Tout cela a un rapport étroit avec la disparition du christianisme et de la sainte messe. Pourquoi les élus de Satan se sont-ils empressés de transformer la messe de saint Pie V en une nouvelle messe plus que douteuse, puisqu’elle fut présentée par un ecclésiastique ouvertement franc-maçon ? Lisons (et méditons) ces lignes extraites des Méditations du R.P. Hamon pour comprendre l’importance de la pratique de la sainte messe et de la communion.

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« La communion à la sainte messe exerce son action bienfaisante sur nos âmes et sur nos corps.

D’abord sur nos âmes. Par elle, nous nous unissons si étroitement à Jésus-Christ qu’il demeure en nous, que nous demeurons en lui, et que nous sommes transformés en lui jusqu’à devenir en quelque sorte une même chair et un même sang avec lui ; jusqu’à être comme d’autres Jésus-Christ, non pas que Jésus-Christ se change en nous, mais c’est nous qui sommes changés en lui. En effet, plus on s’approche dignement de la communion, meilleur on devient ; et à mesure qu’on s’en éloigne, on s’éloigne de la vertu. Quand on communie avec foi, on sent qu’il n’est pas juste que la langue qui a porté le corps d’un Dieu se profane dans des entretiens folâtres ou médisants ; que la chair qui a été le ciboire vivant de la sainte hostie se souille par la moindre indécence ; que le cœur qui a été le sanctuaire de la divinité s’ouvre à ce qui n’est pas saint et pur. De là vient que la communion corrige les vices, modère les passions, amortit le foyer de la concupiscence, guérit nos langueurs spirituelles. Affligés, elle nous console ; découragés, elle nous ranime ; abattus, elle nous relève ; froids, elle nous réchauffe. L’hémorroïsse se tenait assurée de sa guérison si elle touchait seulement le bord de la robe du Sauveur. Qu’est-ce donc de recevoir son corps, son sang, son âme, sa divinité ! On ne saurait dire les biens que nous apporte la communion bien faite. C’est le froment des élus ; c’est le vin qui fait germer les vierges et donne à l’âme des goûts de pureté et d’innocence. La présence de Jésus-Christ en nous affermit la volonté dans la charité et dans toutes les vertus. Celui qui mange ma chair, dit Jésus-christ, vivra pour moi ! ; c’est-à-dire qu’il vivra non plus de la vie terrestre et animale, mais de la vie de Jésus-Christ, de son humilité, de sa pureté ; de son obéissance, de sa douceur, de sa patience, et il pourra dire : Ce n’est pas moi qui vis, c’est Jésus-Christ qui vit en moi.

A ces effets de la communion sur nos âmes, il faut joindre son action bienfaisante sur nos corps. Elle les sanctifie en les consacrant comme ciboires du corps de Jésus-Christ, et en nous apprenant par là à les conserver dans une pureté parfaite comme autant de vases sacrés. Elle refroidit en nous l’ardeur de la concupiscence. Si vous ne sentez plus si souvent, dit saint Bernard, les accès de la colère, de l’envie, de la luxure ou autres vices, rendez-en grâces au corps de Jésus-Christ. Enfin, elle dépose en nos corps le germe de la résurrection glorieuse. Celui qui mange ma chair et boit mon sang, dit Jésus-Christ, a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour. Remercions Jésus-Christ de tant de grâces attachées à une bonne communion. »

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Si les gens étaient fidèles à ce qui a toujours été enseigné, cru et dit, les histoires et mensonges présentées comme vérités par les serviteurs de Satan seraient perçus pour ce qu’ils sont par l’immense majorité de nos contemporains ; nous n’en serions très certainement pas là où nous en sommes.

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