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Par E. Huff – Quatre villes du Massachusetts – Douglas, Oxford, Sutton et Webster – imposent des fermetures “volontaires” d’une durée indéterminée après qu’une – oui, une – personne a été testée positive à un “virus extrêmement rare” qu’elles appellent encéphalite équine de l’Est (EEE).
Désormais, tous les soirs, les habitants et les visiteurs de ces quatre villes seront mal vus s’ils sont aperçus à l’extérieur de leur domicile après la tombée de la nuit, et ce afin d’enrayer la propagation de cette maladie potentiellement mortelle transmise par les moustiques. Ce cas récent d’EE est le premier depuis 2020 à être confirmé dans le comté de Worcester par le département de la santé publique du Massachusetts (DPH).
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Le conseil de santé d’Oxford a voté en faveur de la recommandation de rester à l’intérieur après 18 heures tous les soirs à partir d’aujourd’hui et jusqu’au 30 septembre au moins, car le virus de l’EEE ne se propage apparemment qu’après le coucher du soleil. A partir du 1er octobre, l’heure de fermeture d’Oxford commencera une heure plus tôt, à 17 heures, tous les soirs, et restera ainsi jusqu’aux premières gelées qui toucheront la région.
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Les confinements sont “volontaires”, c’est-à-dire qu’il n’y aura “pas d’application”, selon les autorités, si les habitants refusent de s’y conformer. Il y a cependant un hic : toute personne souhaitant “utiliser les terrains municipaux en dehors de ces recommandations […] devra présenter une preuve d’assurance et signer un formulaire d’indemnisation”. Ceux qui n’ont pas d’assurance n’ont apparemment pas de chance et devront rentrer chez eux et “rester en sécurité” tous les soirs au coucher du soleil, ce qui permettra uniquement à ceux qui sont suffisamment riches pour avoir une assurance d’utiliser les installations publiques en plein air.
Le CDC affirme qu’il n’y a que quelques cas d’EEE par an dans tout le pays. Au vu des mesures prises par le gouvernement du Massachusetts, on pourrait penser que l’EEE est un fléau qui se propage rapidement et qui menace des villes entières d’extinction, à moins que les gens ne rentrent chez eux à la tombée de la nuit. En réalité, l’EEE n’est absolument pas une menace.
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Selon les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC), seuls quelques cas d’EEE sont recensés chaque année aux États-Unis. En d’autres termes, l’EEE n’existe même pas pour 99,999 % de la population. La seule raison pour laquelle l’idée d’imposer des confinements à l’échelle de la ville pour quelque chose d’aussi peu menaçant que l’EEE est envisagée est le précédent créé par la “pandémie” de coronavirus de Wuhan (COVID-19). Aujourd’hui, chaque fois que le gouvernement ou les médias font état d’une “menace”, ils peuvent s’en tirer avec beaucoup plus de tyrannie qu’avant l’apparition du COVID, car le public a été conditionné à accepter la paranoïa excessive et la tyrannie comme “solutions” aux “virus”.
Les gens tomberont-ils dans le panneau ou ignoreront-ils complètement ces nouvelles “recommandations” du département de l’enfer public ?
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