Dans cet article, vous allez voir que les États-Unis d’Amérique n’ont absolument aucune chance de sortir indemne de la situation dans laquelle l’État profond et les mondialistes ont placé les Américains. Il en va de même pour nous, en Europe, puisque la commission européenne décide pour chacun des pays membres de l’union européenne et que cette même commission est aux ordres de l’État profond et des mondialistes.
En lisant cet article, vous ne devez pas oublier tout ce que nous avons publié à propos du projet de perestroïka conçu par le KGBiste Andropov et discuté avec l’Etat profond de l’époque. Cela fait bien longtemps mais quasiment chaque information contenue dans cet article annonçant la dérive et le chaos aux États-Unis, mais aussi par ricochet dans tout l’Occident, est en rapport avec ce qui a été programmé vers les années 1960-75. Nous aborderons cette thématique dans les prochaines séries de LISO car il est de plus en plus évident que la cinquième colonne soviéto-russe a travaillé et collabore plus que jamais avec les mondialistes occidentaux pour générer la faillite de la civilisation occidentale. Tout ce qui avait été annoncé par sœur Lucie de Fatima dans les années 1940 se confirme sous nos yeux et il reste à prier afin que la divine Providence suscite un vrai doux Christ sur la terre pour consacrer la Russie au Cœur immaculé de Marie.
Entrons maintenant dans le vif du sujet et voyons ce qui attend les Etats-Unis d’Amérique…
ZeroHedge – L’Amérique a de gros problèmes. Et aucun des deux candidats à la présidence ne parle du plus grand problème auquel le pays est confronté. Selon le Wall Street Journal, le plan économique de l’ancien président Donald Trump (tarifs douaniers, expansion militaire et réductions d’impôts) coûtera 7 500 milliards de dollars de déficits supplémentaires en seulement quatre ans. Le journal affirme que c’est deux fois plus que le plan de la vice-présidente Kamala Harris pour le pays.
Mais… ce que personne n’a encore compris, c’est que ces estimations sont toutes basées sur des augmentations du taux de dépenses déficitaires du gouvernement. Ces chiffres ne signifient pas que la dette nationale va passer de 35 000 milliards de dollars à 42 000 milliards de dollars sous Trump. Ou peut-être à “seulement” 39 000 milliards de dollars sous Harris.
Ce que personne ne dira à voix haute, c’est que ces chiffres s’ajoutent à l’augmentation constante des dépenses liées aux paiements de transfert obligatoires. Ces obligations signifient que les Etats-Unis sont déjà sur la bonne voie pour accumuler au moins 22 000 milliards de dollars de nouvelles dépenses déficitaires au cours de la prochaine décennie. Cette combinaison de dépenses incontrôlées, non financées et imposées par la loi (pour la sécurité sociale, Medicare, etc.) et les nouveaux programmes de dépenses proposés par Trump et Harris signifient que plus de 30 000 milliards de dollars de dette supplémentaire seront ajoutés au cours de la prochaine décennie. C’est plus ou moins le double de la dette actuelle. Rapporté à la taille de l’économie américaine, le niveau d’endettement de l’Amérique va dépasser tous les records précédents, y compris ceux de la guerre de Sécession et de la Seconde Guerre mondiale. L’Amérique est déjà endettée à hauteur de 35 000 milliards de dollars. Ces dettes sont déjà si importantes qu’il n’existe aucun moyen légitime, fondé sur le marché, de financer la croissance astronomique des paiements de transfert qui nous attend.
On ne parle pas d’une crise en 2040. On parle d’une crise en 2026. Et ce n’est pas le plus gros problème…
A mesure que la dépendance augmente et que les baby-boomers vieillissent, il y a moins de travailleurs pour soutenir le système. Aujourd’hui, les Etats-Unis comptent 134 millions de travailleurs à temps plein. Cela semble beaucoup, mais cela ne représente qu’environ 40% des Américains. Et ce chiffre inclut les 25 millions de personnes qui travaillent pour le gouvernement.
Lorsque l’on examine ces chiffres de plus près, on constate qu’un désastre se profile à l’horizon – une guerre civile en gestation. Faites le calcul. Il y a les personnes totalement dépendantes (67 millions d’Américains). Il y a les personnes qui ne travaillent pas, mais qui pourraient le faire (24 millions). Il y a les personnes qui travaillent pour le gouvernement (25 millions). Toutes ces personnes (116 millions au total) dépendent de l’imposition des 134 millions d’Américains qui travaillent à plein temps. Mais… attendez… il y a un énorme problème…
Le système fiscal est si fortement progressif que la plupart des gens, même la plupart des travailleurs à temps plein, ne paient pas d’impôt fédéral sur le revenu (ou à peine). En fait, 1% des contribuables paient près de la moitié de l’ensemble des impôts sur le revenu. Et 10% des contribuables paient 76% de l’ensemble des impôts sur le revenu. Si vous étudiez les chiffres, vous découvrirez que seuls 70 millions d’Américains paient un impôt fédéral sur le revenu. Et, en réalité, ce ne sont qu’environ 20 millions d’Américains qui paient la grande majorité (90 %) de tous les impôts sur le revenu. En d’autres termes, nous sommes en présence d’une élection où 116 millions de personnes qui tirent des avantages matériels des dépenses de l’Etat ont la possibilité de voter contre les 70 millions qui doivent les payer. En réalité, il s’agit d’un concours entre environ 20 millions de contribuables et tous les autres. Alors, devinez ce qui va continuer à se passer ?
Et puis, il y a ceci. Depuis cette année, le pays compte 52 millions d’immigrés. Cela représente 15% de la population. C’est le chiffre le plus élevé jamais atteint. Nous venons d’assister à la plus grande vague d’immigration de tous les temps en Amérique. Vous ne devinerez jamais pour qui ils vont voter…
Cette dernière vague d’immigrants a été payée pour venir ici par un groupe d’élitistes mondialistes cherchant à garder le contrôle du gouvernement en faisant pencher la balance du pouvoir dans les Etats en mutation. Il s’agit d’une fraude électorale légalisée. Et cela va déclencher une vague de violence sans précédent à l’encontre de ces nouveaux arrivants.
La prochaine étape pour l’Amérique sera une longue période de souffrance. Et plus de violence entre ceux qui bénéficient du régime et ceux qui en souffrent. Ils n’arrêteront pas de tirer sur votre candidat. Ils n’arrêteront pas de censurer votre discours. Et, tôt ou tard, ils voleront vos biens et vous jetteront dans un trou. Et pendant ce temps, ni Trump ni Harris ne reconnaissent l’éléphant de 35 000 milliards de dollars dans la pièce.
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