Le président russe Vladimir Poutine ne participera pas au sommet des BRICS qui se tiendra le mois prochain au Brésil en raison d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) datant de 2023.
“Le gouvernement brésilien n’a pas pu adopter une position claire qui permettrait à notre président de participer à cette réunion”, a déclaré un conseiller du Kremlin.
Qu’en dire ? Poutine participera virtuellement au sommet des BRICS, comme il l’avait fait pour le sommet de 2023 en Afrique du Sud, auquel il n’avait pas pu assister pour la même raison. Poutine s’était toutefois rendu à une réunion des BRICS en Mongolie, qui est signataire de la CPI. Contrairement à la Mongolie, le Brésil est un membre clé de l’alliance des BRICS. Le refus du Brésil d’ignorer le mandat d’arrêt de la CPI à l’encontre de son partenaire économique montre les limites des membres du BRICS eux-mêmes lorsqu’il s’agit de contourner le droit international.
Si l’alliance économique BRICS+ était plus forte, les pays membres seraient peut-être plus enclins à ignorer la CPI, mais le BRICS+ n’est pas plus puissant que l’ordre international dirigé par… l’Occident.
Dans le même temps, ISRAËL DÉSIGNE LA BANQUE CENTRALE IRANIENNE COMME “ORGANISATION TERRORISTE”.
Le ministre israélien de la Défense, M. Katz, a annoncé que son ministère et le Mossad avaient désigné la Banque centrale d’Iran, la Shahr Bank, la Bank Mellat, la société Sepehr Energy Jahan et trois hauts responsables opérant au sein de celle-ci comme organisations terroristes et agents terroristes.
Katz a promis que “l’État d’Israël continuera à utiliser toute sa puissance militaire, économique et ses services de renseignement pour exposer, frapper et assécher l’axe du mal iranien partout où il opère”.
Qu’en dire ? Ces mesures sont particulièrement préoccupantes pour le succès à long terme du cessez-le-feu. Il a été écrit: que “le Mossad ne fait jamais partie d’un cessez-le-feu”…
Le Parlement iranien a voté la suspension de toute coopération avec l’Agence internationale de l’énergie atomique afin de mettre fin aux activités de surveillance et de rapport de l’AIEA en Iran, sans toutefois se retirer du Traité de non-prolifération nucléaire. L’Iran a directement lié cette suspension à l’attaque américaine contre ses installations nucléaires et a suggéré que l’AIEA avait fourni des informations aux États-Unis et à Israël.
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