Près de 50 % des adultes commandent désormais des menus enfants. « C’est économique. » C’est l’une des conclusions d’une nouvelle enquête menée par Lightspeed Commerce, une société qui fournit des systèmes de paiement au secteur de l’hôtellerie et de la restauration. L’enquête a révélé que 44 % des clients américains déclarent avoir commandé des menus enfants pour eux-mêmes au restaurant.
Un signe des temps ? Regardons l’histoire pour nous guider.
Quelques parallèles avec la Grande Dépression. Comportement de repli vers des produits moins chers. Les gens se sont tournés vers les options les moins chères qu’ils pouvaient trouver. Aujourd’hui, ce sont les menus enfants et les menus économiques.
Discipline en matière de portions et de prix. Les familles ont donné la priorité à des portions plus petites et à des prix prévisibles. Dans les années 1930 : haricots, pommes de terre, morceaux de viande moins chers, plats en casserole (repas « qui font durer »). Aujourd’hui : repas plus petits et moins d’accompagnements.
Substitution et partage. Remplacer les protéines chères par des protéines moins chères, partager une assiette au lieu d’en prendre deux. Même logique, nouvel emballage.
Conclusion ? Même réaction humaine… réduire la consommation, réduire les portions. Se gaver de malbouffe… un moyen sûr de détruire la santé des gens et donc de les rendre plus dépendants des grandes entreprises pharmaceutiques.
Mais les 1 et 2 % ?
Plus riches et plus gros que jamais dans l’histoire des Etats-Unis.
Quelle est donc la solution immédiate ? REDONNER DU POUVOIR D’ACHAT À LA MONNAIE ! Et non pas en en retirer davantage, comme le préconisent les dirigeants politiques (Trump) via un dollar plus faible et une suppression plus artificielle des taux.
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