Tandis que les Européens font tout leur possible pour grossir « l’affaire des drones », assisté des médias mainstream, Trump lui-même utilise la tribune de l’ONU pour se mettre en avant et moraliser contre la Russie. Il vient discrètement de mettre en place une force alarmante au large des côtes vénézuéliennes, qu’il convient de mentionner.
Simplicius – Ce qui a commencé comme des frappes ostensibles contre les « terroristes et trafiquants de drogue vénézuéliens » s’est lentement transformé en ce qui ressemble à une opération planifiée visant à décapiter Maduro.
Trump a envoyé 10 NAVIRES DE GUERRE près du Venezuela, soit près de 13 % de la flotte.
Dans le même temps, Washington restaure activement son ancienne base à Porto Rico et y a déployé des unités du Corps des Marines, des drones, des moyens navals et même un navire lié aux forces d’opérations spéciales.
Non seulement Trump déplace d’importants moyens navals à Porto Rico et dans les zones périphériques, mais des informations inquiétantes font état de l’arrivée d’un navire rare des forces spéc
Extrait de Slavyangrad : « Cela correspondrait au mode opératoire de Trump, qui a une grande tolérance au risque et donne son feu vert à toutes les opérations des forces spéciales qui lui sont présentées. Pendant ce temps, la Pologne s’affole à cause de drones leurres bon marché et les pays baltes se plaignent des avions russes qui survolent l’espace aérien international. Pendant ce temps, les États-Unis exécutent des personnes dans les eaux internationales et mènent probablement des opérations au Venezuela, puis Israël bombarde un allié des États-Unis et cinq autres pays. »
Le NYT confirme le déploiement de forces spéciales qui pourraient être utilisées dans le cadre d’une opération secrète visant à renverser Maduro :
« Les 4 500 membres actuellement à bord de huit navires de guerre sont trop peu nombreux pour envahir le Venezuela ou tout autre pays abritant des trafiquants. Et ils n’opèrent pas dans la zone maritime principale pour mener une campagne majeure de lutte contre le trafic de drogue. Selon les experts régionaux, cette zone se trouve dans l’océan Pacifique oriental. Le déploiement clandestin de forces spéciales d’élite suggère que des frappes ou des raids commandos à l’intérieur même du Venezuela pourraient être en préparation, notent les experts.«
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