Résumé d’un article de M. Snyder – Les Etats-Unis font face à une grave crise de terrorisme intérieur, marquée par une flambée de violences et d’actes extrêmes contre les forces fédérales. Selon Kristi Noem, secrétaire du Département de la Sécurité intérieure (DHS), des groupes violents — gangs, cartels et organisations terroristes — ont placé des primes sur la tête d’agents fédéraux : 2 000 $ pour les kidnapper, 10 000 $ pour les tuer. Des photos d’agents ciblés ont été diffusées à travers leurs réseaux.
Cette montée de violence est liée, selon Noem, à des années d’immigration illégale incontrôlée. A Chicago notamment, les gangs dépassent en nombre la police ! Le gouvernement Trump, cependant, ne compte pas reculer et entend rétablir l’ordre.
Un incident récent illustre l’escalade : une femme, Marimar Martinez, a été blessée par des agents de la police des frontières après avoir participé à un assaut avec un convoi de 10 véhicules contre eux à Chicago. Elle était armée et a tenté de les percuter. Elle est aujourd’hui entre les mains du FBI. D’autres assaillants ont également été arrêtés.
L’incident a dégénéré en émeutes, les manifestants jetant pierres et gaz sur les agents. Des agents de l’ICE ont été attaqués et un de leurs véhicules a été endommagé après avoir été encerclé. Plusieurs agents ont été blessés et hospitalisés.
Pour faire face à cette insécurité croissante, le président Trump déploie la Garde nationale dans des villes dirigées par des démocrates, notamment Chicago et Portland. Malgré des décisions judiciaires bloquant certaines mobilisations, Trump a contourné l’interdiction en envoyant des troupes de Californie à Portland.
Le centre de détention de l’ICE à Portland est en état de siège depuis des mois, avec des violences continues dans les rues. Le gouvernement fédéral considère désormais les assaillants comme de véritables terroristes intérieurs, ce qui change la manière dont ils sont poursuivis.
Ce climat explosif est le fruit de décennies de tensions sociales et politiques, qui culminent aujourd’hui. Il va de soi que les mois à venir seront encore plus violents, marqués par une guerre civile larvée entre l’Etat fédéral et les mouvements extrémistes.
C’est la traduction de l’analyse faite dans le dernier numéro de LIESI : tout ce qui se passe sous nos yeux avait déjà été acté à la chute du Mur de Berlin… tout comme la restructuration de l’URSS en Fédération de Russie…
Des forces furent à l’œuvre pour obtenir ce que nous voyons en automne 2025 et qui va s’amplifier aussi en Europe occidentale !
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