Donald Trump ne dirige rien du tout et vient de se coucher devant Poutine

 

Quand Donald Trump a annoncé qu’il allait fournir à l’Ukraine des missiles Tomahawk, nous avons appris que cela n’arriverait jamais pour la simple et bonne raison que le président américain et le roi de la versatilité et qui ne peut pas prendre le risque de s’opposer à Poutine dans la guerre de surenchère qu’à proposer le Kremlin. Nous nous en expliquerons dans la prochaine série à propos de la probable paternité de Vladimir Poutine qui nous fera plonger dans les arcanes de l’histoire des services secrets soviétiques et russes…

En attendant, il faut soigner la communication et entretenir soigneusement les électeurs du candidat Rothschild via à la Maison-Blanche. C’est la raison pour laquelle la porte-parole, Karoline Leavitt, a affirmé que le président américain Donald Trump travaille « 24 heures sur 24 » pour parvenir à une solution pacifique au conflit en Ukraine. Après un appel avec Vladimir Poutine et une rencontre tendue avec Volodymyr Zelensky, Trump a insisté sur le fait que la guerre dure « depuis trop longtemps » et que la patience des Etats-Unis s’épuise.

Selon « CNN », la discussion entre Trump et Zelensky à la Maison Blanche a été franche et parfois inconfortable. Trump a refusé pour l’instant de livrer à l’Ukraine des missiles à longue portée, estimant que Kiev risquait de prolonger le conflit. D’après Axios, il a également précisé que les missiles Tomahawk ne seraient pas fournis, car il souhaite privilégier la diplomatie plutôt que l’escalade militaire.
Sans surprise, donc, le président américain Donald Trump a une nouvelle fois retournée sa veste renvoyant le sinistre Zelensky dans son pays et continuer à jouer l’horrible spectacle en compagnie de ses amis européens qui sont de plus en plus en difficulté dans la gestion de leur propre pays. La France vient, par exemple, être à nouveau dégradé et ce n’est qu’un épisode dans un film qui loin d’être terminé. Il sera intéressant de suivre l’évolution de la monnaie euro au cours du premier trimestre 2026. D’aucuns ont déjà annoncé la disparition de cette monnaie dans les trois prochaines années. Cette perspective est sans doute très optimiste à la lumière de l’effondrement des principales économies européennes.

En attendant, que penser de cette apparition absolument indécente des fondateurs des membres d’Al Qaïda au Kremlin, en présence du président Poutine ? Pourquoi le représentant du bloc de commandement soviéto-russe soutient-t-il un régime comme Al Qaïda non élu en Syrie ?

 

 

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