La population occidentale connaît un processus de vieillissement qui va aller crescendo au fil des prochaines années. Aujourd’hui, les recherches ont établi que le pourcentage de la population ayant atteint l’âge de la retraite est proche de 9%. Et dans cinquante ans ?
En 2070, ce taux dépassera les 20%.
Une question intéresse bien des non-retraités d’aujourd’hui : comment seront financées les retraites ?
Généralement, cette retraite est préparée par les gestions que perçoivent les fonds de pension. Ils constituent déjà et encore plus pour demain, une source essentielle de revenus de retraite.
Or ces fonds de retraite investissent essentiellement sur les marchés obligataires et les marchés actions. Le problème est que ces types d’investissement n’ont plus aucun avenir. Les marchés obligataires sont proches d’un krach avec des taux d’intérêt qui risquent de repartir à la hausse avec les aléas climatiques et la politique suicidaire engagée par les gouvernements passés sous la coupe des réseaux mondialistes emprunts d’une idéologie eugéniste.
Tandis que le président Macron est averti d’une grève illimitée de la SNCF à partir du 5 décembre sur la question des retraites, il a fondé sa stratégie en leur opposant l’autre partie des Français, celle des voyageurs : « Je ferai tout pour qu’on soit en soutien de nos compatriotes qui seraient bloqués, mais je n’aurai aucune forme de faiblesse de complaisance ».
Belles paroles d’un ancien banquier… qui sait montrer l’exemple…
Pourquoi n’y a-t-il eu aucune complaisance entre 2008 2017 de la part de l’Union européenne, ce machin tant adulé par les Macronistes et qui a validé la bagatelle de 459 milliards d’aides d’État en capital en direction du secteur bancaire ? À cela s’ajoutent 3659 milliards d’aides de trésorerie…
Le machin européen ne veut rien lâcher pour la classe moyenne et n’hésite pas casser la tirelire pour financer des mastodontes bancaires qui ont préparé, depuis 2008, l’agenda de la prochaine crise quasiment au quotidien.