Sur la base de plus de dix ans d’enquêtes menées par le WOIPFG et d’autres chercheurs, de plus en plus de preuves montrent qu’un pool massif de donneurs d’organes vivants existe depuis le début de la persécution brutale des pratiquants de Falun Gong par le PCC en 1999.
En 2019, un tribunal populaire indépendant a conclu, après une enquête d’un an, que le PCC prélevait de force des organes sur des prisonniers d’opinion depuis des années et sur «une échelle substantielle». Notamment sur les pratiquants de Falun Gong, détenus constituant la principale source d’organes.
Cette pratique macabre continue à ce jour, avait déclaré le tribunal.
On soupçonne Zang d’avoir amené sa chaîne d’approvisionnement d’organes avec lui à Qingdao pour créer son propre centre de transplantation. Ainsi jouissait-il d’un important approvisionnement en donneurs d’organes. La confidentialité de son travail macabre était couvert par le PCC, via l’hôpital général de la police armée de Pékin – une unité militaire de l’Armée populaire de libération (PLA) ou de l’armée du PCC – pour lequel Zang avait travaillé. Par ce biais, il y avait la confidentialité et un approvisionnement à grande échelle d’organes.
La carrière de Zang dans la transplantation d’organes a commencé à partir de 2000, coïncidant avec l’émergence des crimes du PCC de prélèvement forcé d’organes contre les pratiquants de Falun Gong. Le PCC a commencé sa campagne nationale de persécution contre les pratiquants de Falun Gong exactement en juillet 1999. Peu de temps après, des centaines de milliers d’entre eux ont été illégalement détenus dans des centres de détention, des camps de travail et des prisons.
En septembre 1999, Zang a commencé à étudier la chirurgie de transplantation à l’Institut de transplantation Thomas E. Starzl du centre médical de l’Université de Pittsburgh (UPMC) avec l’aide du gouvernement chinois. Il y est resté jusqu’en décembre 2000, selon le portail d’information chinois Sohu.
Zang serait retourné en Chine trois mois avant la date prévue en raison du besoin urgent de la Chine en transplanteurs hépatiques.
Depuis 2000, le PCC a étendu sa persécution massive des adeptes du Falun Gong, dont des millions ont été soumis à la détention et à l’emprisonnement arbitraires.
Dans le même temps, selon les données, les chirurgies de transplantation d’organes en Chine ont connu une croissance explosive en nombre.
En décembre 2000, Zang a établi un programme de transplantation hépatique à l’hôpital provincial de Shandong Qianfoshan et est devenu le premier à pratiquer une telle chirurgie dans la province.
En septembre 2001, il a contribué à la création du Centre provincial de transplantation d’organes du Shandong.
De 2004 à 2008, il a participé à 1 600 cas d’extraction de foie de donneurs au premier hôpital central de Tianjin.
En janvier 2005, Zang a rejoint l’Institut de transplantation hépatique de l’hôpital général de la police armée de Pékin. En avril, il a été nommé directeur adjoint de l’institut. Là, il a effectué plus d’un millier de greffes de foie.
A partir de 2014, Zang a déménagé à l’hôpital affilié de l’Université de Qingdao et y a dirigé les activités de transplantation jusqu’à ce qu’il se suicide le 26 février pour des raisons inconnues. (Source: Epoch Times)
Les fanatiques des droits de l’homme en France et en Europe n’ont aucun souci à serrer la main d’un génocidaire… Comme on dit: qui s’assemble se ressemble. Les confinements pour les pauvres Français sont loin d’être terminés, mais un jour, triste jour, quand les autruches ouvriront les yeux, quel spectacle de désolation il y aura… Peuples et pseudo-gouvernants ne riront pas jaunes…
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