Le conseil de surveillance de Facebook, un organe prétendument indépendant pouvant annuler les décisions de l’entreprise, a déclaré que le géant de la technologie avait suspendu Donald Trump à juste titre en janvier, “à la suite de l’intrusion au Capitole de son groupe de soutien”. Il est encore précisé que M. Trump a publié deux contenus qui auraient “gravement violé” les directives de Facebook.
Donald Trump a répondu à la décision du conseil en déclarant que “la liberté d’expression avait été retirée au président des Etats-Unis parce que les fous de la gauche radicale ont peur de la vérité, mais que celle-ci sortirait de toute façon, plus grande et plus forte que jamais.”
Les membres du conseil d’administration ont également décidé que Facebook ne pouvait pas suspendre des personnes indéfiniment. L’entreprise dispose de six mois pour décider d’interdire définitivement Trump ou de l’autoriser à revenir sur la plate-forme. Les républicains ont décrié la décision du conseil d’administration, appelant à une action législative pour “maîtriser” ou “briser” Facebook.
Réaction du sénateur Ted Cruz (R-Texas) dans un communiqué: “Si les oligarques de Big Tech peuvent museler l’ancien président, qu’est-ce qui les empêche de vous réduire au silence ?”.
Réponse du sénateur Richard Blumenthal (D-Conn.) : “Donald Trump n’est pas une victime sans voix. Il a mérité sa suspension de Facebook en diffusant des mensonges dangereux et incitant à la violence. Notre nation vit encore avec les conséquences de l’insurrection meurtrière que Trump a incité, et il existe un danger clair et présent qu’il recommence”.
Article publiés sur GLADIO VERITATIS
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