Le capitalisme changera, mais peut-être pas comme l’attendent les marxistes -Partie 2

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Qui, avant ces milliardaires de Davos, a voulu s’attaquer aux contradictions internes du capitalisme ? Un certain Karl Marx. Mais lui était à l’époque intermédiaire entre la première et la deuxième révolution industrielle.

Les travailleurs ne gagnaient pas assez. Fort bien, les tenants de la Haute finance ont alors déclenché le processus de la dette. Les travailleurs avaient ainsi du crédit et devenaient des consommateurs. Mais silence sur qui paierait ces dettes dans le temps, car ce processus allait devenir exponentiel, notamment avec le jeu des banques centrales appartenant à ces mêmes familles rêvant d’être les acteurs et promoteurs du Système de la Bête antichristique annoncée par saint Jean dans l’Apocalypse.

C’est bien la raison pour laquelle, aujourd’hui, les marionnettistes derrière le rideau de Davos, ont leur solution : la solution finale dont on parle souvent sur Gladio Veritatis.

Le problème des magnats du Nouveau Monde est qu’il n’est plus question de donner du pouvoir d’achat aux travailleurs, mais de trouver le moyen de les EXTERMINER sans qu’ils s’en aperçoivent. De le faire en donnant l’impression qu’on les aime bien. C’est le travail du politicien… leur esclave. Le politicien est choisi en fonction de ses tares et plus il est taré, plus sa progression est certaine.

Vous voyez où on en arrive, n’est-ce pas ? On s’occupe de votre petite santé… On utilise la propagande médiatique que l’on contrôle avec l’oseille qui achète tout, et on travaille la psychologie de masse pour faire des peuples de bons moutons.

On veut aussi annoncer aux consommateurs de l’Ancien Monde (dont on n’a plus besoin) que le Nouvel Monde est vraiment pour eux. Tout va être vert, écologique, il fera bon de respirer le bon air sans carbone… peu importe si on accélère de diffuser dans le ciel des tas de métaux lourds qui sont des machines à cancer et font du tri sélectif chez les covidés décérébrés. Ils ont l’impression que ce renouveau va être sensationnel. Ils ne voient rien…

Pour ne pas trop effrayer, on fait croire que des monnaies numériques vont arriver et que ce sera magnifique. Il y aura un monde sans inflation et un revenu de base. Il n’y aura plus de propriétaire dans l’immobilier : ce sera l’égalité pour tous.

Vous serez comme le citoyen soviétique (du moins si vous vivez la transition sanitaire et écologique): à faire la queue pour obtenir des miettes de pain et ainsi pas question de manifester.

Il y aura toujours un système démocratique, mais avec des clients de la politique toujours nouveau et plein de promesses.

Dans l’ensemble, les options décrites ci-dessus équivalent à un changement systémique permettant de faire face aux conséquences humaines qui, selon Schwab, pourraient survenir.

Peut-être faudrait-il penser à un monde où les hommes de Davos n’existeraient plus après avoir joué aux apprentis sorciers. Ils pourraient être victimes de leurs petits virus ou autre chose que nous taisons, mais exposerons dans nos publications prochaines… car c’est bien de là que les choses pointeront.

Alors, tandis que les gros bonnets rêvent de leur Nouveau Monde et de la quatrième révolution technologique, nous conseillons de se préparer à un monde où internet deviendra un souvenir funeste pour les survivants…

En attendant, il va falloir supporter la meute de loups qui, de Davos à Pékin, rêvent d’atteindre leurs buts – nous mettons au pluriel pour la raison qui sera exposée dans le prochain numéro de LIESI.

 

 

 

LP 170-192

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