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Selon les économistes d’UniCredit, cette année marquera probablement un nouveau record de nouvelles mesures protectionnistes – subventions gouvernementales, droits de douane, restrictions sur les marchés publics, licences et quotas – pour le commerce mondial des biens et des services. Les gouvernements ont émis plus de 2 000 interventions jusqu’en septembre, battant le record de 2021 d’environ 1 900 interdictions et huit fois plus qu’en 2009, juste après la crise financière mondiale.
Les nouvelles barrières commerciales ont presque triplé depuis 2019, et ces restrictions inversent des décennies d’intégration économique mondiale plus étroite. La tendance devrait s’accélérer cette décennie et provoquer des bouleversements pendant que les chaînes d’approvisionnement sont réorganisées, ce qui entraînera des pénuries de produits de base et des taux d’inflation plus élevés et durables.
Autrement dit, tous ces politiciens qui nous ont conduit vers ce scénario de mondialisation se sont lamentablement trompés, comme bien des entrepreneurs de grandes sociétés qui profitent des paradis fiscaux… le dindon de la farce sera encore le con-tribuable qui devra payer de sa poche tous ces comportements mafieux des un des autres.
Cela signifie aussi que le monde se prépare à une géopolitique de rupture comme on l’a vu en Europe avec la guerre en Ukraine et au Moyen-Orient, où les choses ne font que commencer. Entre la mondialisation heureuse et le Vivre ensemble, les politiciens devraient tous donner leur démission. Le bilan de plusieurs décennies de marxisme de gauche ou de fausse droite, nous conduisent au chaos et plus rien ne pourra nous l’éviter. Reste l’espérance des prières, même si quelques esprits légers trouveront le procédé sans intérêt.
Les banques de Mammon seront à surveiller de très près si les démocrates marxistes s’engagent sur un nouveau front…
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