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Par Kevin McGary – L’histoire confirme que les théories évolutionnistes déréglées de Charles Darwin ont profondément influencé les fondements du racisme, de la “suprématie” et de l’inégalité. Selon ces théories, les Noirs n’étaient pas “égaux” et étaient assimilés à des “singes”, des “gorilles” et des “sauvages”. Les théories de Darwin ont donné une “justification scientifique” au traitement différent et inégal des Noirs, considérés comme innés et inférieurs. Résultat : les Noirs et toutes les autres ethnies non blanches ont été dénigrés et considérés comme sales et inférieurs.
Les théories racistes de Darwin ont profondément influencé les convictions de Karl Marx. Comme Marx et Engels considéraient Darwin comme un mentor, ils ont intégré le darwinisme dans la philosophie de Marx. Marx a accepté les croyances racistes de Darwin selon lesquelles l’humanité a évolué au fil du temps et par étapes et que les différentes ethnies n’ont donc pas été créées sur un pied d’égalité. Cela signifie que Marx pensait que les Noirs et les autres ethnies avaient des déficiences et des limites innées par rapport aux idéaux qu’il chérissait chez les Blancs.
Cela s’est avéré troublant pour Marx. Il se sentait supérieur parce qu’il était blanc, mais son succès personnel était misérable. Il n’a jamais été à la hauteur de ses contemporains. Au lieu d’assumer sa responsabilité personnelle et de devenir plus compétent et plus zélé en matière de réussite personnelle, Marx a rejeté la responsabilité de ses échecs sur le “système capitaliste”. Comme c’est pratique !
La paresse, le chômage et le vagabondage dont Marx a fait preuve tout au long de sa vie, alors qu’il était père de huit enfants de deux femmes, ont engendré une pauvreté qui a nourri son amertume, sa jalousie et sa haine insatiables à l’égard de ceux qui avaient réussi et s’étaient distingués. Marx s’est senti important en adoptant la philosophie communiste qui a forgé un mouvement de “changement” social fondé sur des griefs perpétuels, une haine collective et une amertume sans fin.
Selon la philosophie marxiste, tous les hommes sont inévitablement divisés en deux classes. Pour Marx, il s’agit essentiellement d’une opposition entre les “nantis” et les “démunis”. Marx appelait ces deux camps la classe exploitée (le “prolétariat”) contre la classe dirigeante (la “bourgeoisie”).
Marx détestait les gens qui réussissaient, comme la bourgeoisie, autant à cause de sa propre amertume qu’à cause d’autre chose. Il pensait que l’histoire conduirait inévitablement à un soulèvement prolétarien et à une prise de pouvoir pour réaliser une “utopie communiste”.
Le marxisme s’étend au-delà de sa tombe
Aujourd’hui encore, la philosophie de Marx encourage la classe “exploitée” du prolétariat à se soulever et à contrôler ou éliminer la “classe dirigeante” de la bourgeoisie. Vladimir Lénine, le bolchevik qui a lancé l’Union soviétique, a transformé le marxisme en utopie en mobilisant les “masses” pour saper le capitalisme et la méritocratie.
Le mouvement marxiste-léniniste vise à créer une “société sans classes”. Dans la pratique, cela signifie toujours une société communiste “sans classes” où le gouvernement possède et dirige toutes les entreprises productives, ce qui implique de contrôler tout le monde pour s’assurer que tout le monde a des droits “égaux”.
L’idée marxiste-léniniste de l'”égalité” s’éloigne à 180 degrés des normes et des traditions de l’“égalité des chances” pour s’orienter vers une nouvelle norme, celle de l’“égalité des résultats”. Et le résultat est l’un des principes fondamentaux de la DEI : la diversité, l’équité et l’inclusion. DEI utilise des mots et des méthodes tirés de la vision marxiste/communiste. Elle sensibilise et conditionne les participants à l’adoption inévitable des principes d’une société “sans classes”. Notamment, l’accent mis par la DEI sur l'”équité” (résultats égaux) signifie le rejet total de toutes les normes morales de traitement équitable des personnes par le biais de l’égalité des chances.
Au lieu de cela, la DEI fait pression pour un traitement inégal, franchement immoral, des personnes, afin de produire la vision floue de “résultats égaux”. Cette équité exige que tous les groupes identitaires (race, sexe, etc.) partagent les mêmes résultats, indépendamment de leurs compétences, de leurs aptitudes ou de leurs efforts individuels.
En reliant les points historiques, nous constatons que les tendances actuelles de la DEI sont toujours motivées par la jalousie, l’animosité et le mépris néo-marxiens à l’égard des personnes qui aspirent à l’accomplissement et à la réussite sur la base du mérite. L’humanité n’étant pas composée de robots, chaque individu est doté à des degrés divers de compétences et de talents donnés par Dieu. Les grandes variations entre les individus signifient que plusieurs types d'”inégalité” existeront toujours.
La tendance à évaluer chacun sur la base d’une échelle de résultats égaux, c’est-à-dire d’une rémunération, d’une promotion et d’un avancement de carrière égaux, indépendamment des compétences de base, est un schéma tout droit sorti de l’amertume de Marx à propos de sa vie fondamentalement ratée. Les exigences de Marx en matière d’égalité des résultats étaient fondamentalement conçues pour réaliser son rêve d’une utopie communiste. Il ne fait aucun doute que ses conceptions obscures et sans scrupules des “économies planifiées” détruisent le pouvoir que les marchés libres et la méritocratie apportent à l’enrichissement de tous.
Les initiatives néo-marxistes de la DEI nuisent et sapent les environnements fondés sur des principes éthiques qui tentent d’intégrer l’égalité, la confiance et l’engagement en faveur de l’unité. Généralement, l’équité est utilisée comme une massue à pointes pour infliger des châtiments et “se venger” de ceux qui sont considérés comme des “oppresseurs” ou des “victimes” (à savoir les Blancs) – et non pour unifier.
Les initiatives inspirées de la DEI peuvent obtenir de meilleurs résultats en modifiant le paradigme de la DEI et en adoptant un état d’esprit DOI (Diversité, Opportunité, Inclusion) plus fondé sur des principes.
Il est temps de rejeter les stéréotypes fallacieux et malhonnêtes qui séparent les gens en camps belligérants au lieu de les unifier. Il est temps de rejeter les théories adolescentes et infructueuses qui divisent. En tant qu’adultes mûrs, nous devons maintenant embrasser pleinement et intentionnellement la réalité : nous pouvons être une famille unie.
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