C’est le 7e mois de janvier le plus froid depuis 1659. Après avoir affirmé que “les hivers très froids étaient désormais très improbables en raison du réchauffement climatique”, le Met Office du Royaume-Uni a des explications à donner. Ce mois de janvier 2025 s’avère non seulement très froid, mais aussi historique.
Fait remarquable, malgré les ravages du “réchauffement planétaire catastrophique”, l’Angleterre est en passe de connaître son septième mois de janvier le plus froid en 366 ans, devancée seulement par les mois de janvier de 1716, 1963, 1740, 1814, 1684 et 1795.
Selon l’hypothèse de l’AGW, une première moitié de janvier aussi froide devrait être pratiquement impossible à ce jour. Il est temps de revoir cette hypothèse !
Et le froid n’est pas près de s’arrêter.
Quelques développements possibles concernant l’épidémie polaire qui s’apprête à frapper les Etats-Unis…
L’un des résultats plausibles, selon le modèle ICON, suggère que des systèmes de haute pression plus puissants dans le sud-est pourraient chasser l’air plus froid vers le sud. Ce déplacement pourrait entraîner des conditions trop froides et trop sèches pour permettre des précipitations dans des régions comme Atlanta.
Selon le modèle GFS, le front polaire s’effondrant directement dans le golfe du Mexique. Dans ce scénario, le Sud resterait largement sec, sans neige attendue jusqu’à mercredi prochain, mais le froid sera mordant, battant des records. Dans tous les cas, l’Amérique doit se préparer.
Dans l’hémisphère nord, les anomalies négatives devraient dominer jusqu’à la fin du mois de janvier :
En fait, une grande partie de la planète semble recevoir des anomalies négatives.
Comme l’écrit Ryan Maue, PhD, sur X : “Au cours des deux prochaines semaines, un froid extrême sur les continents de l’hémisphère nord pourrait suffire à ramener les températures mondiales à la moyenne 1991-2020, effaçant temporairement les cinq dernières années de réchauffement planétaire”. Cela devrait entraîner une baisse importante de l’indice UAH de janvier.
Les TEMPS FROIDS reviennent et cela signifie : baisse des rendements agricoles, tensions sur les réseaux d’énergie et, en fin de compte, augmentation de la mortalité. Préparez-vous en conséquence.
“Je commence à me demander ce qui se passe”, conclut M. Maue.
Si cela dure, vous imaginez qu’il y aura de graves conséquences économiques…
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