L’establishment US impose sa dictature à travers les agences d’Etat

Quand le complexe militaro-industriel américain a réellement pris le pouvoir aux Etats-Unis, des assassinats furent ordonnés de façon tout à fait arbitraire par à un groupe de personnes constituant l’establishment… lequel contrôle non seulement le complexe militaro-industriel, mais aussi les services secrets.
Le site kingcenter.org souligne: “Après quatre semaines de témoignages et plus de 70 témoins dans un procès civil à Memphis, Tennessee, douze jurés ont rendu un verdict unanime le 8 décembre 1999 après environ une heure de délibérations que Martin Luther King Jr. a été assassiné à la suite d’un complot. Mme Coretta Scott King s’est félicitée du verdict en disant : « Il existe de nombreuses preuves d’une conspiration majeure de haut niveau dans l’assassinat de mon mari Martin Luther King Jr…. Le jury était clairement convaincu par les nombreux éléments de preuve présentés lors du procès que, outre M. Jowers, le complot de la mafia, les gouvernement local, étatique et fédéral étaient profondément impliqués dans l’assassinat de mon mari.”
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Les assassinats parrainés par l’establishment s’exécutent toujours au nom de la sécurité nationale. C’est pratique et cela a depuis été la règle.
Dès 1953, la CIA a élaboré un manuel officiel d’assassinat  formant ses agents à l’art de l’assassinat et, tout aussi important, à l’art de dissimuler le rôle de la CIA dans les assassinats parrainés par l’État – lire l’establishment.
En 1954, la CIA a ciblé le président démocratiquement élu du Guatemala pour l’assassiner parce qu’il tendait la main à la Russie dans un esprit de paix, d’amitié et de coexistence mutuelle.
En 1960-61, la CIA a comploté pour assassiner Patrice Lumumba, le chef du Congo parce qu’il était perçu comme une menace pour la sécurité nationale américaine.
Au début des années 1960, la CIA, en partenariat avec la mafia, la première organisation criminelle au monde, a comploté pour assassiner Fidel Castro, le président de Cuba, un pays qui n’a jamais attaqué ni envahi les États-Unis.
En 1973, le même réseau américain a orchestré un coup d’État au Chili, où ses homologues de l’establishment chilien de sécurité nationale ont conspiré pour assassiner le président démocratiquement élu du pays, Salvador Allende, en tirant des missiles sur le palais national.
Les victimes de ce réseau ne sont pas uniquement des personnalités étrangères.
Comme James W. Douglas le démontre si bien dans son livre JFK and The Unspeakable: Why He Died and Why It Matters, l’establishment américain a également ciblé le président John F.Kennedy.
Et pourquoi l’ont-ils fait ?
Parce qu’ils ont conclu que Kennedy était devenu une menace grave pour la sécurité nationale. Après la crise des missiles cubains, Kennedy avait réalisé une percée qui lui a permis de reconnaître que la Guerre froide n’était qu’un grand racket pour l’establishment et son complexe militaro-industriel.
C’est à ce moment que JFK a annoncé la fin de la Guerre froide et a commencé à tendre la main aux Soviétiques et aux Cubains dans un esprit de coexistence mutuelle. Le discours de paix de Kennedy  prononcé à l’Université américaine le 10 juin 1963, annonçant son intention de mettre fin à la Guerre froide et de normaliser les relations avec le monde communiste, a scellé le sort du président Kennedy. C’est aussi ce qui avait scellé le sort du président Arbenz au Guatemala et idem pour le président Allende au Chili. (Voir le livre à succès de FFF,  JFK’s War with the National Security Establishment: Why Kennedy Was Assassined,  par Douglas P. Horne. Voir également le livre à succès de FFF  The Kennedy Autopsy par Jacob Hornberger et son autopsie Kennedy récemment publiée.)
 La liquidation physique ordonnée et exécutée du président Kennedy a ouvert la voie à une structure gouvernementale totalitaire connue sous le nom “d’État de sécurité nationale”. 
Par la suite, assassinats, tortures, invasions, occupations, guerres de l’agression, coups d’État, alliances avec des régimes dictatoriaux, formation de terroristes, sanctions, embargos, opérations de changement de régime (révolutions de couleur), destructions massives, etc., sont devenus la politique de cet establishment. (Source: ZeroHedge)
Jusqu’où cela nous entraînera t-il ?

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