Nous sommes dans un monde de plus en plus dangereux qui a besoin d’informations crédibles afin de pouvoir réaliser une analyse objective de la situation, et prendre ainsi les mesures adéquates qui conviennent pour se préparer à un avenir de plus en plus incertain. Or, aujourd’hui, le pouvoir et les médias sont intimement liés. Nous l’avons vu d’ailleurs lors de la dernière élection présidentielle française, quand les grands patrons des médias se comptaient parmi les financiers du mouvement politique de la nouvelle présidence.
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Il va de soi que les leaders des médias cherchent à façonner l’esprit collectif à travers la plupart de leurs journaux, de leurs stations de radio et de télévision.
Les complicités entre le pouvoir et les médias n’ont jamais été aussi visibles. Les agents du pouvoir sont également influents dans les principaux médias et agences de presse.
C’est la manifestation que nous glissons vers une forme de totalitarisme dans la mesure où le politicien apparaît aux yeux de tous comme la marionnette du pouvoir financier et économique.
Un pouvoir financier qui n’est même plus national mais transnational.
Cette relation entre le politique et le financier, entre le pouvoir politique et les maîtres des médias ne pourra pas durer éternellement. On en sent la limite à travers plusieurs événements.
La démocratie vendue depuis des décennies à chaque campagne présidentielle comme la garantie d’un monde meilleur, n’est plus qu’une illusion. Même les représentants politiques de l’oligarchie internationale doivent être élus avec une minorité de la population votant. Les abstentions sont en effet nombreuses et le dégoût du politique ne cesse de croître. Voilà pourquoi l’oligarchie doit désormais dérouler un autre agenda qui passe par une prochaine crise, absolument nécessaire, pour engager les populations dans un autre paradigme que vont laisser progressivement entrevoir les événements chinois.
vendredi 26 avril 2024