Tandis que les autorités chinoises font de la propagande pour le succès de leurs efforts à endiguer l’épidémie du coronavirus, les marchés américains ont vivement piqué du nez, hier, à la suite de la publication d’une statistique importante de nouvelles victimes de coronavirus en dehors de la Chine. Voilà ce que l’épidémie s’étend dans le monde. Comme si, par exemple en France, les mondialistes en jupe n’ont pas fait le nécessaire pour amplifier ce qui doit advenir…
De ce point de vue, le gouvernement japonais a pris des mesures absolument insensées et qui sont lourdes d’interrogations sur la volonté non avouée des autorités politiques dont certaines fréquentent des sociétés secrètes mondialistes, notamment celles que nous évoquons dans la dernière série LISO 322-332 et qui ont programmé un scénario aboutissant économiquement au scénario que les grands médias commencent à décrire… comme par enchantement.
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On voit difficilement comment le Japon ne pourrait pas désormais entrer en récession.
Dans le même temps, le stratège Peter Oppenheimer publiait une note où il écrivait : “Nous pensons que le plus grand risque est que l’impact du coronavirus sur les bénéfices pourrait bien être sous-estimé dans les cours actuels des actions, ce qui suggère que les risques d’une correction sont élevés”.
Quelques heures avant, la firme Goldman Sachs tirait la sonnette d’alarme auprès de ses clients en ce qui concerne “une éventuelle correction du marché boursier, estimant que les investisseurs sous-estiment l’importance du risque que représente réellement le coronavirus”.
Il va de soi que les marchés financiers sont extrêmement exposés à de mauvaises surprises en ce qui concerne la croissance des bénéfices. Il n’y a pas de fumée sans feu ! D’ailleurs, la Réserve fédérale a publiquement fait connaître ses inquiétudes concernant les perspectives de croissance mondiale à la lumière du nouveau paradigme qu’impose le coronavirus en Chine.
Pendant ce temps, le rallye des métaux précieux se poursuit. On explose tous les records dans quasiment toutes les monnaies autres que le dollar US. Comme nous l’avons déjà dit, très récemment, sur ce blog, cela un sens bien particulier qu’il faut bien décrypter.
Il y a quelques heures, la Réserve fédérale a rendu public son procès-verbal de la dernière réunion (janvier) dans lequel elle estimait l’économie américaine solide avec « une activité économique qui augmentait un rythme modéré ». Elle ajoutait percevoir « des signes timides de stabilisation de la croissance économique mondiale » et être « prudemment optimiste quant aux effets de la crise chinoise sur le secteur des entreprises ».
jeudi 21 novembre 2024