L’AGENDA DES MAITRES DE MARIO DRAGHI – Partie 3

Quel est l’instrument privilégié dans cette entreprise de faux sauvetage de l’économie proposée par Mario Draghi, porte-parole des puissants préférant rester tapis dans l’ombre ?
Les banques.
Les banques, en particulier, s’étendent à l’ensemble de l’économie et peuvent créer de l’argent instantanément en autorisant des découverts ou en ouvrant des facilités de crédit. Les banques doivent rapidement prêter des fonds à un coût nul aux entreprises prêtes à sauver des emplois. Comme elles deviennent ainsi un vecteur de politique publique, les capitaux dont elles ont besoin pour accomplir cette tâche doivent être fournis par le gouvernement sous la forme de garanties d’État sur tous les découverts ou prêts supplémentaires. Ni la réglementation ni les règles en matière de garanties ne doivent empêcher de créer tout l’espace nécessaire dans les bilans bancaires à cette fin.
Mais qui contrôle les banques? Pas les gouvernements…
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Bonjour les dégâts. Cela ouvre la voie à autre chose dont nous parlerons dans la lettre LIESI. Cela va se traduire par une immense spoliation…
Poursuivons l’entretien de Mario Draghi.
Ces entreprises peuvent encore être en mesure d’absorber cette crise pendant une courte période et de s’endetter pour maintenir leur personnel au travail. Mais leurs pertes accumulées risquent de compromettre leur capacité à investir par la suite. Et, si l’épidémie de virus et les fermetures associées devaient durer, elles ne pourraient de manière réaliste rester en activité que si la dette contractée pour maintenir les gens au travail pendant cette période était finalement annulée.
Mais a-t-on intérêt à arrêter cette crise fantasmagorique au plus vite ?
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Le niveau de la dette publique aura augmenté. Mais l’alternative – une destruction permanente de la capacité de production et donc de l’assiette fiscale – serait beaucoup plus dommageable pour l’économie et finalement pour le crédit public. Nous devons également nous rappeler qu’étant donné les niveaux actuels et futurs probables des taux d’intérêt, une telle augmentation de la dette publique n’augmentera pas les coûts de son service.
A certains égards, l’Europe est bien équipée pour faire face à ce choc extraordinaire.
Vraiment ?
Le souvenir des souffrances des Européens dans les années 1920 suffit à nous mettre en garde.
Tiens tiens… il annonce que ce qu’il craint sera notre avenir… Du moins LIESI l’affirme avec CERTITUDE.
 
La rapidité de la détérioration des bilans privés – causée par un arrêt économique à la fois inévitable et souhaitable – doit être compensée par une rapidité égale dans le déploiement des bilans publics, la mobilisation des banques et, en tant qu’Européens, le soutien mutuel dans la poursuite de ce qui est évidemment une cause commune.
Les Italiens ne serons peut-être pas tout à fait d’accord, surtout s’ils ont pris conscience comme les Chinois de QUI est derrière ce crime des peuples – voir le numéro de LIESI du 31 mars.

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