Chaque journée qui début donne lieu désormais à des inquiétudes nourries chez les gestionnaires d’actions. On s’attend de plus en plus à ce que les chiffres macro-économiques traduisent le ralentissement de l’économie mondiale et notamment aux Etats-Unis.Les commentaires des seconds couteaux de l’Etat profond finissent par nourrir le bourrage de crane ambiant et ce fut le cas hier alors que les résultats de l’économie américaine n’étaient pas si dramatiques. On veut retenir que le fameux virus se propage trop rapidement et qu’il va se traduire par plus de licenciements et de nombreuses faillites d’entreprises. Des analyses de banques (comme Société Générale) évoquent un plongeon possible de 30% supplémentaire des marchés de Wall Street parce que les analystes n’ont pas pris suffisamment en compte le manque de préparation réel du secteur financier face aux nombreuses inconnues économiques à venir.
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Le marché de l’or est totalement en effervescence. La demande physique de métal est au plus haut niveau depuis des décennies mais les cours sont coiffés. En effet, le prix des métaux SPOT n’a pas beaucoup augmenté, alors que partout ailleurs sur la planète, les prix physiques des métaux ont grimpé de plus de 20% par rapport au prix spot.
Il va falloir être spectateur dans les 20 à 30 prochains jours et regarder la multitude de données économiques qui seront publiées. En outre, nous venons de clore le premier trimestre 2020. Par conséquent, peuvent désormais arriver des communications désagréables des sociétés sur les bénéfices et les prévisions.
vendredi 26 avril 2024