CONFINER LE TROUPEAU POUR ÉVITER LA RÉBELLION – Partie 2

Il faudra suivre l’évolution sociale des prochaines semaines. Les peuples occidentaux ne sont pas ceux de Russie et d’Union soviétique. Comment vont réagir les populations des secteurs sacrifiés par l’Oligarchie, à savoir la restauration, l’hôtellerie, le tourisme et le secteur de l’énergie? Les nombreuses faillites qui vont survenir dans ces secteurs vont considérablement gonfler les rangs des Gilets jaunes ou de leur équivalent ici ou là…
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Et il y aura aussi un effet domino des entreprises des secteurs relevés avec leurs créanciers que sont les banques. Est-ce que les banques centrales arroseront tout ce monde ? La réponse se trouve dans la volonté des oligarchies à l’origine de cette crise inhumaine.
Aux Etats-Unis, les banques ont déjà ralenti leurs lignes de crédit aux entreprises, exactement comme on l’a vu en 2008/2009, anticipant que certains de leurs débiteurs ne rembourseront jamais leurs dettes contractées à leurs guichets.
Certes nous sommes dans une période électorale et par conséquent la Réserve fédérale devrait être sur le pont. On peut raisonnablement penser que le cartel bancaire va chercher à provoquer toujours plus de violence. En effet, ils sont à l’origine de cette crise et favorisent l’action des démocrates, ces gauchistes complètement hystériques qui veulent un nouveau Reich eugénique, soutenus en Occident par les ultra-libéraux, les néocon européens.
Alors, y aura t-il de prochains Lehman à l’automne prochain ?
Que feront les législateurs démocrates pour contrer la Maison Blanche ? Encore une fois, la main qui aboie servira la main des banquiers qui financent les campagnes des marionnettes du Congrès.
On a récemment vu des manifestants (proches de D. Trump) faire le siège d’un parlement avec des armes à feu. Si des millions d’Américains continuent à perdre leur travail et leurs moyens de subsistance qu’auront-ils à perdre ?
Comment rembourser les dettes quand la masse patrimoniale à tondre se réduit avec la crise ? Comment remplacer les impôts non perçus ? Comment gérer le plus grand déficit budgétaire et le plus grand déficit des comptes courants aux Etats-Unis ?
Pour beaucoup d’autres pays où les politiciens ont volontairement laminé l’économie nationale en se servant du coronavirus comme prétexte, comment vont-ils trouver l’argent pour rembourser les dettes des vrais boss des banques centrales, tapis dans l’ombre ?
Dans LIESI, avant même l’orchestration de cette crise, nous avons annoncé que le scénario attendu serait une forte inflation et une hyperinflation avec la perte de la confiance des gestionnaires d’actifs financiers dans l’action des gouvernements. Ce qui se met en place aligne les éléments nécessaires pour cette configuration. Vous verrez les banquiers centraux abandonner la cible de l’inflation à 2%.
C’est l’une des raisons non avouée pour laquelle les citoyens français vont avoir pour obligation d’avertir le fisc de l’existence de leur coffre-fort en banque s’ils en possèdent un. Pourquoi, selon vous la chose doit-elle être faite au 1er septembre ? LIESI était averti de cette nouvelle depuis… plus d’un an (donc AVANT l’épisode du corona). Comme quoi, n’en déplaise aux esprit légers qui ne croient pas à un complot des Elites pour euthanasier ce qu’elles considèrent comme des bouches inutiles, notre monde se précipite dans un modèle où l’argent ne va plus valoir grand chose.
Nous avions dit que ce scénario serait possible si les banques centrales imprimaient encore davantage et que la production déclinait. N’y sommes-nous pas avec le coronavirus ?
Entendez bien et prenez note : avec une production mondiale en baisse, une demande globale en forte diminution et une multiplication de la quantité de monnaie en circulation, les prix des actifs étant soutenus par les banques centrales, ce n’est qu’une question de temps avant que l’inflation ne passe de “modérée” à “incontrôlable”.
Nous entrons dans le monde de l’économie planifiée. Voilà qui rappelle certains cours d’histoire, n’est-ce pas ? Guettez le moment où les banques centrales vont imprimer de la monnaie fiduciaire à une échelle sans précédent. Dans le même temps, au nom du coronavirus, les banquiers internationaux ont bloqué les achats en métaux précieux. Hasard ? Bien sûr, il ne faut pas choquer les experts du monde des bisounours pour qui le mot complot est l’apanage des attardés mentaux. Ils ne veulent rien voir et ils le paieront au prix de voir leurs propres enfants crier: “J’ai faim !” Ils se diront alors, si j’avais été plus honnête… mais ce sera trop tard.

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