Des journalistes se sont impliqués dans les groupes qui poussent les manifestants à la violence aux Etats-Unis. Ils ont cherché à savoir d’où venait la radicalisation de la gauche. Ils ont obtenu des plans, leurs manuels, intercepté des communications internes ainsi que des enregistrements de leurs conversations en mode “zoom”. Leur enquête secrète sur la radicalisation de la gauche au sein du mouvement pour la justice climatique, très influent dans les récentes émeutes de Minneapolis, a duré deux longues années.
Ils ont découvert comment le Sunrise Movement avait joué un rôle clé dans la mise en œuvre du chaos, en profitant de la mort de George Floyd et en l’utilisant comme catalyseur pour faire avancer leur programme Green New Deal, et tenter d’abolir l’action des forces de police.
Ils ont découvert l’influence d’organisateurs écolo radicalisant les collégiens et les lycéens en leur enseignant des tactiques militaires et en les préparant à des actions à haut risque. Certaines de ces tactiques comprennent des techniques de provocation à l’escalade, le blocage de la circulation sur les autoroutes et la façon de se faire arrêter en embourbant les forces de l’ordre au nom de la destruction du capitalisme pour faire place au Green New Deal – la perestroïka de l’Occident.
C’est ainsi que certains parents ont cru voir des organisations de jeunesse insouciantes, véritablement encouragées et dirigées par des enfants, alors qu’en réalité il s’agissait de structures monolithiques de haut en bas avec des services de renseignement privé, des entrepreneurs militaires et des intérêts étrangers influençant les enfants pour qu’ils réalisent leurs objectifs subversifs.
Les événements qui ont éclaté à Minneapolis, dans le Minnesota, n’étaient pas une réaction spontanée au meurtre de George Floyd. Il s’agissait d’événements bien planifiés, anticipant un point de déclenchement parfait pour introduire un nouveau concept – un monde sans police, sans frontières, sans industrie, sans richesse, sans propriété privée, sans économie – un monde basé sur les idéaux communistes ancrés dans le Green New Deal.
Le Green New Deal ne concerne pas le changement climatique, mais la justice climatique – une nouvelle idéologie radicale qui s’acharne à détruire la civilisation occidentale sous le faux prétexte que la suprématie blanche est la principale cause du changement climatique, de l’injustice sociale et de tous les problèmes mondiaux.
Les organisateurs de ces organisations non gouvernementales de jeunes, ou Youngos, embellissent la suprématie blanche comme un problème systémique, en se concentrant sur des cas statistiquement rares d’inégalité et d’injustice raciale, tout en ignorant les grands progrès réalisés par les Etats-Unis au cours du siècle dernier en matière d’égalité des chances et de réforme de la justice pénale. Cependant, afin de normaliser les politiques radicales mises en avant par le Green New Deal, il faut capitaliser sur les crises pour faire avancer leur programme, tout en détruisant les grandes réalisations des mouvements de défense des droits civils du passé.