La perte de confiance impacte l’économie réelle

Dans la situation actuelle où l’argent de relance est créé à partir de rien et est distribué directement aux citoyens, ces derniers utilisent ces unités monétaires pour acheter des produits de première nécessité (nourriture, essence, autres nécessités), ou pour rembourser des dettes, voire faire des économies et/ou investir dans le casino boursier. Il n’y a donc pas ou très peu d’impact sur l’économie de consommation (achat d’appareils électroménagers, automobiles, maisons, etc.) et donc sur l’économie réelle.

On a de fait une situation qui ne favorise nullement l’économie réelle, mais qui traduit surtout un début de PERTE DE CONFIANCE en l’avenir.

Voici l’ironie. Si les gens choisissent de dépenser leur argent en biens de consommation vitaux, alors que la demande augmente, les prix et donc l’inflation augmenteront, écrasant la classe moyenne et les pauvres dans des proportions très dommageables, entraînant des troubles financiers. L’effort de la banque centrale pour stimuler devient non seulement un échec, mais peut (au contraire) entraîner une augmentation du coût de la vie, car les prix des matières premières et des produits de première nécessité peuvent augmenter en raison de l’augmentation de la demande.

Une enquête récente montre que 77% des Américains sont préoccupés par la flambée de l’inflation. Qui en parle?

L’inflation est la façon dont le gouvernement vole de l’argent aux contribuables. Par exemple, les salariés investissent beaucoup d’argent dans la sécurité sociale, puis une cinquantaine d’années après, ils retirent de l’argent gonflé… mais  qui a réduit son vrai pouvoir d’achat. Un exemple concret: un chèque de sécurité sociale moyen de 321 $ en 1980, ajusté par l’inflation, devrait être de 7529 $. Au lieu de cela, le chèque moyen de la sécurité sociale est de 1543 $ aujourd’hui.

Dans la mesure où la politique monétaire des banques centrales se traduit par une spoliation de l’épargne des contribuables, il va de soi que les oligarchies du cartel bancaire ont tout intérêt à maquiller la résurgence de l’inflation. Ils ont secrètement choisi de rendre l’indice de l’énergie responsable de la situation, car ils feraient ainsi un double coup avec l’agenda du Nouveau Monde vert, où l’énergie fossile doit être prohibée. Toutefois, malgré tous les coups tordus récemment sortis du chapeau (un cargo qui bloque l’itinéraire des tankers dans le canal de Suez, une raffinerie qui explose en Indonésie, etc.) , les cours du pétrole sont passablement à la traîne. Le prochain numéro de la lettre confidentielle mentionnera le scénario dont discute le complexe militaro-industriel avec les hommes de paille de la Maison Blanche… pour favoriser leur macabre agenda.

 

 

SOMMAIRE DE LA LETTRE CONFIDENTIELLE LIESI

 

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