Nous avions évoqué, en fin de première partie, la question qui va devenir brûlante : celle de l’inflation. Aux Etats-Unis, on commente la hausse des prix constatée en août. “Les prix du gaz naturel bondissent alors que les mois d’hiver ne sont pas encore là“, titre le Wall Street Journal.
Depuis des mois, Gladio Veritatis annonce la flambée des cours de l’or noir. Comment les populations, qui avaient déjà de grandes difficultés lors de la fronde des Gilets jaunes vont-elles réagir ? Non seulement les prix de l’énergie explosent, mais c’est encore pire avec les coûts alimentaires. Nous ne parlons même pas des prix de l’immobilier, devenus inabordables pour un pan considérable de personnes.
D’autres sujets arrivent également sur la scène politique américaine, notamment les débats sur la politique de la Maison Blanche et le plafond de la dette. Les marxistes démocrates commencent à comprendre que leur plan d’endettement pharaonique est insensé. Ils ne savent pas vraiment comment le financer, dans un contexte où tout augmente. Comme les gauchistes sont des gens déconnectés de la réalité, ils ont une solution qui ne change jamais au fil des décennies : ils vont taxer les riches.
Mais les mouvements et partis gauchistes ont toujours été financé par les oligarchies les plus riches d’Occident. Les gauchistes ont toujours été les ‘‘idiots utiles’’ des banquiers communistes de Wall Street pour faire avancer leur plan tyranniques consistant à devenir plus riche et à appauvrir les pauvres et la classe moyenne. Les gauchistes ont toujours ciblé la classe moyenne, mais jamais la Haute finance.
Bref, les démocrates sont ennuyés car ils ne savent pas comment financer leurs rêveries de nouveau monde à leur solde. En outre, vient la question du plafond de la dette que J. Yellen, la secrétaire au Trésor annonce comme un gros problème. Il faut en effet renégocier entre les deux partis américains cette question du plafond de la dette fédérale. Un compromis entre les deux camps est nécessaire. Le politique va devoir être mis en avant sur l’économique.
De toutes les façons, le film a déjà été écrit par les financiers de ces deux partis démocrate/républicain. La Main qui finance décide et le politicien n’est qu’un chien qui aboie dans la direction qu’on lui ‘suggère’.
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