Nouveau Monde et nouvelle législation fiscale pour les multinationales

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Le Nouveau Monde qui doit émerger et qui serait dominé économiquement par les grandes multinationales –puisque la gestion de la crise sanitaire liée à la guerre bactériologique engagée par la Chine va aboutir in fine à l’extinction des entreprises de taille plus petite– doit permettre un cadre fiscal à partir duquel ces gros mastodontes, (jusqu’ici) hyper protégés par le pouvoir politique, contribueront à la vie sociétale.

Le fait que ce point soit mis en évidence lors du G20 de ce jour à Rome, n’est que l’illustration du processus en cours et que nous avons appelé la solution finale sur Gladio Veritatis.

Les politiciens vont parachever les documents que les experts dans les coulisses ont déjà préparé depuis des mois. Ils viseront à remanier la façon dont les pays du monde entier taxent les entreprises multinationales.

Ainsi voit-on que nous suivons un agenda bien logique, mais qui ne se comprend que par la lecture du complot des Elites de Davos pour aboutir à la perestroïka de l’Occident capitaliste. Car pourquoi, tout à coup, maintenant, les politiciens auraient-ils la volonté de faire ce qui n’avait jamais été réalisé depuis des lustres ?

Tant que cette attaque contre les peuples et les nations souveraines n’avait pas vu le jour, on ne s’est (comme par enchantement) jamais soucié de cibler les multinationales qui ne payaient pas d’impôts.

Les responsables politiques et leurs communicants vont parler de refonte historique des règles de l’économie mondiale puisqu’elles vont enfin obliger les entreprises à payer leur juste part d’impôts.

On a fait bouger les choses en pleine crise bactériologique puisque le pacte avait obtenu en octobre le soutien de principe de 136 gouvernements, sous les auspices de l’Organisation de coopération et de développement économiques. Par la suite, les ministres des Finances du G-20 ont approuvé un cadre pour l’accord en juillet.

Voilà dont le point majeur de ce G-20 et il n’y aura très probablement pas d’autres accord substantiel… comme l’allégement de la dette des pays à faible revenu.

Comme vous le voyez, tout ce qui sert le programme eugénique a peu de chance de connaître des améliorations. On crée des milliards de dollars en appuyant sur un bouton pour appliquer le plan de la solution finale, mais on n’est pas fichu de supprimer les dettes des pays pauvres…

Si ce pacte est validé, on devrait mettre un terme aux efforts déployés par les entreprises multinationales pour transférer leurs bénéfices vers des paradis fiscaux à faible taux d’imposition. Il y aurait un nouvel impôt minimum mondial de 15% pour ces entreprises multinationales. Une question demeure : comment, quid de la création d’un mécanisme de règlement des différends crédible ?

On n’a en principe pas grand chose à craindre dans le fait que les pays signataires donneront suite en promulguant une législation nationale pour mettre en œuvre les nouvelles règles fiscales et en approuvant formellement une convention multilatérale, qui sera rédigée par l’OCDE. Pourquoi ? Parce que le politicien est déjà aux ordres des courants financiers détenant les multinationales et les banques centrales.

La prochaine étape devrait logiquement être celle d’un nouveau régime fiscal mondial. Selon les dires, il devrait entrer en vigueur au cours des deux prochaines années.

 

LIESI 480

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