Les banques centrales claironnent qu’elle vont toujours suivre les théories keynésiennes et qu’en augmentant un peu les taux d’intérêt elles vont freiner l’inflation. Il est évident qu’en limitant l’accès au crédit, on freine les désirs de consommation à crédit. Mais aujourd’hui, le gouvernement est le plus grand emprunteur. Donc, si les banquiers centraux augmentent les taux d’intérêt, cela ne signifie pas que les politiciens concluent : nous allons moins consommer. Par nature, les politiciens sont devenus des gens complètement irresponsables, ce sont des prostitués de l’Etat profond et on les contraint à se renier au fur et à mesure que s’annoncent des élections. C’est l’une des raisons de la progression des métaux précieux. Le politique n’inspire plus confiance,mais un dégoût profond.
Par conséquent, la réalité est la suivante : les banques centrales ont complètement perdu la main dans la lutte contre l’inflation. Pour être plus clair : une augmentation des taux impliquera une chute de la croissance, moins de rentrées fiscales, une crise économique et les gouvernements imprimeront, dépenseront plus en faisant de la dette.
On semble l’ignorer, mais à l’heure présente, 70% de la dette nationale des Etats-Unis est essentiellement l’intérêt cumulé de dettes anciennes. Donc il ne faut pas croire que les dettes actuellement engagée vont aux routes, aux écoles, aux orphelins, à l’infrastructure du pays. Les nouvelles dettes pesant sur les populations vont dans la poche des banquiers internationaux ! Et ces derniers sont vraiment puissants puisqu’ils sont parvenus à imposer au Congrès américains que les fonds de pension soient investis dans des obligations d’Etat. En maintenant les taux d’intérêt très bas et en dessous de l’inflation sur les obligations d’Etat, vous rendez les fonds de pension insolvables !
Les véritables chefs d’orchestre de cette crise connaissent cela et c’est pourquoi ils soufflent sur l’inflation. Ils accumulent les Etats à l’endettement et donc à la banqueroute. S’il est vrai que les banques centrales perdent la main, c’est absolument attendu et voulu ! Car elles seront à même d’imposer la solution finale que le Forum économique mondiale de Davos appelle la Grande Réinitialisation : vous ne posséderez plus rien, parce que les dettes ne pourront pas être remboursées.
En poussant les Etats à faire défaut, tous les fonds de pension disparaîtront et vous verrez des millions de personnes en bas de l’échelle sociale dans la misère. Plus de révolte avec des files de camions, mais avec des fourches.
Voilà la vraie crise. Toute l’affaire du COVID n’a été qu’une couverture pour ce vrai programme. Les banquiers internationaux attendent tout simplement une catastrophe budgétaire et la banqueroute des peuples comme celle des Etats. C’est AUSSI la raison pour laquelle le COVID n’est que l’épisode 1. Ils vous offrent l’apéritif, mais vient le plat de résistance. De cela, nous n’en parlerons certainement pas sur un site public.
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