La guerre en Ukraine et la paralysie des politiciens occidentaux – Partie 2

Nous terminions notre article d’hier en disant que de nombreux capitaux européens avaient fui vers l’Amérique. Pourtant, les Etats-Unis sont sous le contrôle des gauchistes et de leur politique du néant, mais c’est un Etat fédéral, et on pourrait assister à des sécessions entre Etats. En outre, les Américains sont armés et pourront défendre leurs libertés, ce qui n’est pas le cas des Canadiens, comme des Européens.

La situation est donc dans la ligne de ce qu’avait annoncé Sœur Lucie de Fatima et dont nous avons parlé dans des séries de la Lettre des prophéties. Il faut lire très attentivement ces séries qui sont la clé de lecture de notre avenir. C’est la même chose pour tout ce que nous avons publié à propos des confidences d’agents du GRU et du KGB passés à l’Ouest. Tout ce qu’ils ont confié se réalise sous nos yeux.

Cela dit, comme l’exprime Glenn Greenwald : « Le déclenchement d’une guerre entre deux ou plusieurs nations est évidemment l’un des pires événements qui puissent arriver à l’humanité, si ce n’est clairement le pire. C’est pourquoi, lorsqu’une telle situation se produit, les émotions sont extrêmement fortes, le nationalisme et le tribalisme montent en flèche, l’éventail des débats autorisés se rétrécit radicalement, la classe politique et les médias s’unissent pour diffuser des messages sur l’ensemble du spectre politique, et quiconque s’écarte un tant soit peu du script ou le remet en question est pourchassé et considéré comme un hérétique et un traître. Ce climat toxique incite naturellement à s’accrocher fidèlement au script ou à rester silencieux, du moins jusqu’à ce qu’un espace plus important soit ouvert à la dissidence. »

En Occident, on rejette systématiquement une grille de lecture catholique de l’Histoire parce que l’on ne veut pas de Dieu. L’Union européenne fonctionne exactement selon le slogan inscrit sur la coque du Titanic : « Ni Dieu ni Maître ». Rappelons encore qu’à la fin de sa construction, des architectes avaient proclamé avec ironie et fierté, que « Dieu lui-même ne pourrait pas couler ce beau et grand bateau ! »

Les Young Global Leaders de Davos pensent sûrement la même chose. Pauvres esprits embrumés, totalement déconnectés du monde réel…

En tout cas, on connaît la suite de cette histoire. Dans la nuit du 14 au 15 avril 1912, le paquebot réputé insubmersible a coulé… et la Première Guerre mondiale est survenue ensuite.

Ces dernières décennies, l’Occident a rejeté Dieu et fait la guerre à ses commandements en se croyant invincible. La Russie sera, géopolitiquement, l’Attila de la Providence. Il faudra suivre le cours de l’euro et voir si les rats continuent à quitter le navire européen, comme les milliardaires pressés d’embarquer dans les chaloupes du Titanic pour échapper à la mort… à la seule exception de John Jacob Astor, l’opposant le plus virulent au groupe de banquiers internationaux voulant instaurer une banque centrale PRIVEE… Curieuse coïncidence.

Avril 1912, cet opposant à la création de la Fed disparaît dans les eaux glaciales…

Décembre 1913, la Fed est créée et le président du cartel bancaire, Wilson, valide le fait que les Etats-Unis passent sous le contrôle d’un cartel de banquiers internationaux.

1914, la Premier Guerre peut commencer et la suite est mieux connue… jusqu’au développement d’un programme désormais publiquement bien connu: le Nouvel Ordre Mondial.

 

LIESI 487

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