Sœur Lucie de Fatima : les derniers temps

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“Père, la Sainte Vierge ne m’a pas dit explicitement que nous sommes arrivés aux derniers temps, mais trois raisons me poussent à le croire.”

“La première raison est qu’Elle m’a dit que le diable est sur le point d’engager une bataille décisive contre la Vierge. Et cette bataille décisive est l’affrontement final, dont un camp sortira victorieux et l’autre vaincu. Nous devons choisir dès maintenant notre camp, celui de Dieu ou celui du diable. Il n’y a pas d’autre option.”

“La deuxième raison est qu’Elle nous a dit, à moi et à mes cousins, que le Seigneur avait décidé de donner au monde les deux derniers remèdes contre le mal, qui sont le Saint Rosaire et la dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Ce sont les deux derniers remèdes possibles, ce qui signifie qu’il n’y en aura pas d’autres.”

“La troisième raison est que, dans les plans de la Divine Providence, lorsque Dieu est obligé de punir le monde, avant de le faire, Il essaie de le corriger avec tous les autres remèdes possibles. Maintenant, quand Il voit que le monde ne prête pas attention à Ses messages, alors, comme nous le disons dans notre langage imparfait, Il nous offre “avec une certaine crainte” la dernière chance de salut, l’intervention de Sa Très Sainte Mère. Il le fait “avec une certaine crainte” parce que, si même ce dernier recours n’aboutit pas, nous ne pourrons plus espérer un quelconque pardon du Ciel, parce que nous nous serons rendus coupables de ce que l’Évangile appelle un péché contre l’Esprit Saint. Ce péché consiste à rejeter ouvertement, consciemment et volontairement la possibilité de salut qui nous est offerte. N’oublions pas que Jésus-Christ est un Fils très bon et qu’il ne permettra pas que nous offensions et méprisions Sa Très Sainte Mère. L’histoire séculaire de l’Église conserve les témoignages des terribles châtiments infligés à ceux qui ont osé porter atteinte à l’honneur de Sa Très Sainte Mère, montrant ainsi que Notre Seigneur Jésus-Christ a toujours défendu l’honneur de Sa Mère”.

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