La marionnette D. Trump n’est pas devenue « incontrôlable » avec la Russie : ce n’est que du théâtre malsain

 

D’aucuns parlent de revirement stratégique de Donald Trump concernant la guerre en Ukraine. Alors qu’il se présentait auparavant comme un médiateur soucieux des aspects humanitaires du conflit, le président américain adopte désormais une posture plus agressive à l’égard de la Russie.

Trump a décidé d’imposer de nouvelles sanctions sévères visant les géants pétroliers russes Rosneft et Lukoil, espérant ainsi forcer Moscou à capituler. Il envisage aussi de livrer à l’Ukraine des missiles Tomahawk à longue portée, capables de frapper le territoire russe, ce qui marque une escalade majeure du conflit. Mais cela reste de la propagande complète parce que Poutine a menacé le président américain dans un domaine très singulier.

Ces sanctions affectent particulièrement l’Inde, qui dépend du pétrole russe transporté par la « flotte fantôme » désormais sanctionnée. Washington affirme vouloir « encourager un changement de comportement » plutôt que punir Moscou, mais la mesure semble surtout motivée par des considérations géopolitiques. Cependant, Trump risque un retour de flamme économique, car le retrait du pétrole russe du marché mondial ferait grimper les prix et nuirait à l’économie américaine.

Poutine a réagi avec défi, qualifiant ces mesures d’ »inamicales » mais sans effet majeur sur l’économie russe. Il a averti qu’aucun pays « respectueux de lui-même » ne céderait à la pression. De son côté, l’Occident se montre divisé et hypocrite : l’Allemagne continue discrètement d’acheter du pétrole russe malgré ses discours hostiles, tandis que le Royaume-Uni cherche des dérogations aux sanctions américaines.

L’efficacité de ces nouvelles sanctions dépendra donc de la rigueur avec laquelle les Etats-Unis les appliqueront. Une mise en œuvre souple permettrait à la Russie de continuer à exporter son pétrole, pénalisant les acheteurs comme l’Inde qui réduiraient leurs importations.

Sur le plan militaire, Moscou a averti que toute attaque sur son territoire avec des missiles américains entraînerait une riposte « écrasante ». Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a même déclaré que Trump avait fait des Etats-Unis un ennemi direct de la Russie. C’est du blabla répétitif de ce personnage qui semble ne faire que le mauvais pitre.

En tout cas, malgré la tension, Trump a laissé une porte diplomatique ouverte, en envoyant un émissaire rencontrer un représentant russe à Miami, tout en adoucissant son ton envers la Chine en vue du sommet qui a eu lieu à Kuala Lumpur. Pékin, de son côté, semble tirer profit de sa fermeté commerciale.
Enfin, la Russie continue de renforcer son arsenal, avec la mise en service de missiles hypersoniques Oreshnik et de bombes planantes de nouvelle génération, contre lesquelles l’Occident ne disposerait d’aucune défense efficace !

Bref, ce tournant marque une nouvelle phase de confrontation directe entre Washington et Moscou, où sanctions économiques, pressions diplomatiques et démonstrations militaires s’entremêlent dans un climat mondial de plus en plus instable.

 

 

Lisez maintenant le dernier numéro de la lettre confidentielle. Ce que l’on vous cache…

La trahison et le chaos sont démontrés à travers l’exposé des SIMILITUDES entre l’URSS des années 1980 et les Etats-Unis et le bloc occidental des années 2020 !

 

 

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