Les sans-abri ne sont pas cotés à Wall Street

Selon un rapport du ministère du Logement et du Développement urbain, la population des sans-abri aux États-Unis a légèrement augmenté de trois pour cent. Elle s’élève désormais à 567 715 personnes, dont 63% vivent dans des logements protégés. L’augmentation nationale est principalement due à une énorme détérioration survenue en Californie où la statistique a augmenté de 16,4% entre 2018 et 2019.
Plus de la moitié de tous les sans-abri aux États-Unis – environ 53% – se trouvent en Californie. C’est près de neuf fois plus que l’État avec le deuxième plus grand nombre de sans-abri sans abri qui est la Floride.
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Ce phénomène bien triste est principalement un problème urbain. Plus de la moitié de la population des sans-abri est dispersée dans les cinquante plus grandes villes du pays. (voir l’infographie ci-dessous)
Près d’un quart des sans-abri vivent dans seulement deux villes : New York et Los Angeles. Malgré une population considérable de sans-abri, New York peut au moins affirmer que la grande majorité d’entre eux sont hébergés dans un logement avec seulement 4,4 pour cent vivant dans la rue. On ne peut pas en dire autant de l’État de Californie, où (par contre) 71,7% de tous les sans-abri sont vraiment sans aucun abri.
Malheureusement, les financiers de Wall Street savent que les gestionnaires de fonds n’ont strictement rien à faire de la pauvreté. Ce qui compte ce sont les chiffres et la tenue des indices. Les statistiques de la pauvreté ne sont jamais regardées. Ni par les économistes ni par les politiciens dont le rêve est d’être toujours un “profiteur” de leur position. Il suffit de voir les derniers achats immobiliers de la famille de Barack Obama. Hallucinant  ! Merci les réseaux…
Vous noterez que pour quelqu’un qui garantit le réchauffement climatique ET la remontée des eaux et des océans, il achète les pieds dans l’eau…