En attendant l’ouverture du site privé, voici un article public – Dans ce processus de Nouvel Ordre Mondial, les banques ne vont pas perdre la partie mais ce sont les populations qui vont souffrir… c’est déjà le cas. On donne aux gens des miettes sous la forme d’aides ou de plans de relance, mais dans le même temps, les politiciens au service de la Haute finance détruisent sciemment tous les fondamentaux de l’économie. On met en lambeaux leurs vies tandis que l’argent coule à flot pour diverses sortes de spéculations.
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Pire, quel spectacle désolant de voir ces politiciens repus qui, au Congrès, se querellent pour traîner en longueur alors que les situations de détresse explosent dans l’ensemble des Etats-Unis.
Pourquoi les politiciens de Big Brother agissent-ils ainsi? Probablement parce que l’idée du cartel bancaire est de mettre le peuple par terre afin de lui faire accepter l’idée d’un immense plan de relance pour… toujours plus de dettes. Preuve que cette supposition pourrait s’avérer fondée? Voyez ce que font encore les indices des marchés ces dernières heures. Ils explosent encore à la hausse…
Il faut dire les choses avec netteté : LES BANQUES CENTRALES ONT POUR VOCATION A DÉTRUIRE L’ÉCONOMIE. Pourquoi? Pour détruire la vitesse de circulation de la monnaie et ainsi freiner l’inflation. Mais aussi pour créer encore plus de dettes et ainsi rendre les peuples esclaves, pour plusieurs générations, d’un nouveau monde, leur Nouvel Ordre Mondial. Un nouveau monde où les règles morales ne sont plus celles de la chrétienté mais les leurs. A savoir une ré-inversion totale des valeurs.
Les criminels sont devenus des gens sympathiques et les génocidaires des hommes respectables. Cela couve depuis bien longtemps. Kissinger n’a t-il pas reçu un prix Nobel alors qu’il a du sang sur les mains? Obama n’a t-il pas reçu un prix Nobel juste avant d’engager les Etats-Unis dans une série de guerres injustes?
Pour masquer cette escroquerie, Donald Trump a ciblé la Chine et ment tous les jours sur la forteresse Amérique et le succès de sa politique.