Au cours des deux dernières décennies du XXe siècle, ceux qui fabriquent les mouvements de masse ont émis et répandu la «théorie» selon laquelle l’industrie, l’agriculture, les transports, les ménages émettent d’énormes quantités de dioxyde de carbone dans l’atmosphère, créant un «effet de serre» et augmentant la température sur la planète. Les émissions de CO² proviennent de la combustion d’hydrocarbures – pétrole, produits pétroliers, gaz naturel, charbon, schiste.
Cette «théorie» est remise en question par de nombreux professionnels qui traitent les problèmes du climat, de la physique de la Terre, de la biosphère. Frederick Seitz, ancien président de l’Académie américaine des sciences, a lutté pendant des années avec ce type de raisonnement. Ils sont 17 000 scientifiques américains à avoir signé une pétition collective contre cette tromperie, mais on n’en parle pas car les promoteurs de cette «théorie» sont aussi des gens de mauvaise foi et ils sont surtout très riches. Ils savent pertinemment qu’ils ont tort parce qu’ils ne veulent aucun débat contradictoire. Ils n’ont aucun preuve scientifique à apporter pour justifier leur «théorie» sinon des documents frelatés avec la connivence de scientifiques soudoyés pour la plupart.
Cette affaire a surtout démontré comment les médias, contrôlés par les puissants de ce monde, manipulent les foules. Plus que cela, pendant des décennies ils parviennent à effrayer les gens avec l’annonce d’une catastrophe climatique qui n’est jamais venue.
Et comme le mensonge climatique a si bien fonctionné, pourquoi ne pas reproduire ce scénario avec une crise sanitaire ? Dans les deux cas il s’agit de faire peur aux populations pour mieux les contrôler et les contraindre à accepter la perte de leurs libertés essentielles comme celle de se déplacer, de travailler, de rencontrer des amis et de débattre sur les sujets qui fâchent les marionnettes politiciennes.
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