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Par Simplius The Thinker – Medvedev a publié une nouvelle vidéo dans laquelle il confirme qu’entre le 1er janvier et le 3 août, la Russie a recruté au total 231 000 militaires sous contrat. Il avance également que l’objectif était de 400 000 d’ici la fin de l’année.
Précisons que la Russie a potentiellement perdu 30 à 50 000 hommes avec le départ de Wagner, sans parler de la nouvelle armée de réserve et du nouveau corps d’armée de Shoigu, qui pourraient absorber jusqu’à 120 000 de ces hommes.
Le mois dernier, Medvedev avait spécifiquement déclaré que sur les 160 000 personnes recrutéés à l’époque, 40 000 seraient envoyées au front tandis que le reste irait dans des armées de réserve.
En Ukraine, une mobilisation à grande échelle pourrait être annoncée en hiver. La “grande mobilisation” en Ukraine, annoncée par le député de la Rada Dubinsky, consiste apparemment en des raids généraux sur tous ceux qui peuvent encore détenir des armes, et non plus en des campagnes, dans certaines villes et certains quartiers, mais à grande échelle, partout et en permanence. Il est possible de recruter des dizaines de milliers de conscrits âgés de 40 à 55 ans. Il est plus difficile de savoir qui contrôlera ces troupes sur le champ de bataille.
La pénurie de personnel de commandement subalterne et supérieur a commencé bien avant le début de l’offensive de l’AFU, et ce problème n’a pas encore été résolu. Ce constat est corroboré par des déclarations récentes, comme celles de cet ancien combattant ukrainien, qui affirme que l’ensemble de la population masculine de l’Ukraine devrait se préparer à une éventuelle mobilisation. Il prévoit que 90% des hommes finiront par se battre (et probablement par mourir, peut-on en déduire).
Rappelons que le temps presse pour l’AFU cette année. De nombreux experts estiment que les mois d’août et de septembre sont les derniers mois viables avant l’arrivée de la deuxième mini-Rasputitsa, avec des conditions de pluie et de boue similaires à celles du début du printemps. Zelensky craint de perdre le dernier vestige du soutien de l’Occident et, en fait, certaines rumeurs indiquent que certains pays clés – notamment l’Allemagne – ont déjà réduit leur soutien en prévision d’une conclusion inéluctable. Par exemple, bien qu’elle soit le deuxième fournisseur global de Kiev, l’Allemagne a retardé certaines livraisons critiques, comme les nouveaux Leopard 1.
Face à la folie du pouvoir ukrainien, désespéré, voici ce que le conseiller de l’ancien président ukrainien avait à dire sur les perspectives de Zelensky : “Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy risque la guerre civile s’il continue à détenir illégalement le pouvoir dans le pays“. Un ancien conseiller de Leonid Kuchma, Oleh Soskin, a déclaré ceci sur YouTube : “Si la loi martiale n’est pas annulée et que des élections sont organisées, ce pouvoir sera considéré comme illégitime. Et puisqu’il est illégitime, il est hors-la-loi, et tout Ukrainien, dans le cadre du cinquième article de la constitution, peut détruire les rebelles”, a-t-il déclaré. “Le régime de Kiev n’a pas de soutien populaire. Dès que les soutiens extérieurs disparaîtront, tout s’effondrera d’un seul coup”, a déclaré l’homme politique.
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